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Le projet d'éducation au climat et à l'environnement de Greenpeace questionne notre futur collectif à travers une <link-text>série d’animation<link-text> auto-produite pour leur plateforme en ligne. Et peut-être la question la plus délicate qu’il soit aujourd’hui : à quoi ressemblera notre avenir ? Tandis que les discours les plus rudes s’amuseraient sûrement de l’an 2100 naïvement imaginé par l’ONG - penchant davantage vers un cynisme certain - ‘Green Future' choisit l’optimisme - tantôt l’utopisme - en esquissant le monde de demain comme il pourrait l’être si nous agissons.
<p-title>Episode 1 – Heat<p-title>
Il y a quelques mois, cette même question rythmait les défilés de la <link-text>Fashion Week<link-text>. Et tandis que c’était les durs <link-text>tableaux postapocalyptiques<link-text> de Balmain ou Balenciaga, lundi à Milan, <link-text>Giorgio Armani<link-text> créait une fracture en animant des couples qui s’enlacent, nous invitant à ‘faire preuve de plus de douceur’. L’art se tournerait-il vers le calme ; si ce n’est la résiliation ?
En clôturant son défilé sur une musique du compositeur Ludovico Einaudi, je repense au récital qu’avait mené le pianiste sur la banquise norvégienne pour soutenir l'opération de Greenpeace ‘Save the Arctic' à l'occasion d'une réunion de la Convention pour la protection du milieu marin de l'Atlantique (OSPAR), en Espagne.
Ainsi, si ce n’est le calme ou la résiliation, il semble s’agir de délicatesse ; somme toute de comprendre ce qu’il y a de si fragile aujourd’hui.
Crédit photo : <link-credit-white>Michelle Spollen<link-credit-white> sur <link-credit-white>Unsplash<link-credit-white>
Il y a quelques mois, cette même question rythmait les défilés de la <link-text>Fashion Week<link-text>. Et tandis que c’était les durs <link-text>tableaux postapocalyptiques<link-text> de Balmain ou Balenciaga, lundi à Milan, <link-text>Giorgio Armani<link-text> créait une fracture en animant des couples qui s’enlacent, nous invitant à ‘faire preuve de plus de douceur’. L’art se tournerait-il vers le calme ; si ce n’est la résiliation ?
En clôturant son défilé sur une musique du compositeur Ludovico Einaudi, je repense au récital qu’avait mené le pianiste sur la banquise norvégienne pour soutenir l'opération de Greenpeace ‘Save the Arctic' à l'occasion d'une réunion de la Convention pour la protection du milieu marin de l'Atlantique (OSPAR), en Espagne.
Ainsi, si ce n’est le calme ou la résiliation, il semble s’agir de délicatesse ; somme toute de comprendre ce qu’il y a de si fragile aujourd’hui.
Le projet d'éducation au climat et à l'environnement de Greenpeace questionne notre futur collectif à travers une <link-text>série d’animation<link-text> auto-produite pour leur plateforme en ligne. Et peut-être la question la plus délicate qu’il soit aujourd’hui : à quoi ressemblera notre avenir ? Tandis que les discours les plus rudes s’amuseraient sûrement de l’an 2100 naïvement imaginé par l’ONG - penchant davantage vers un cynisme certain - ‘Green Future' choisit l’optimisme - tantôt l’utopisme - en esquissant le monde de demain comme il pourrait l’être si nous agissons.
<p-title>Episode 1 – Heat<p-title>
Il y a quelques mois, cette même question rythmait les défilés de la <link-text>Fashion Week<link-text>. Et tandis que c’était les durs <link-text>tableaux postapocalyptiques<link-text> de Balmain ou Balenciaga, lundi à Milan, <link-text>Giorgio Armani<link-text> créait une fracture en animant des couples qui s’enlacent, nous invitant à ‘faire preuve de plus de douceur’. L’art se tournerait-il vers le calme ; si ce n’est la résiliation ?
En clôturant son défilé sur une musique du compositeur Ludovico Einaudi, je repense au récital qu’avait mené le pianiste sur la banquise norvégienne pour soutenir l'opération de Greenpeace ‘Save the Arctic' à l'occasion d'une réunion de la Convention pour la protection du milieu marin de l'Atlantique (OSPAR), en Espagne.
Ainsi, si ce n’est le calme ou la résiliation, il semble s’agir de délicatesse ; somme toute de comprendre ce qu’il y a de si fragile aujourd’hui.