Santé mentale : Le top 5 des séries en 2021
5/11/2021

Santé mentale : Le top 5 des séries en 2021

Par Clément Rigaud

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29/1/2022
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29/1/2022
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Si il y a bien une chose qu'on n'a cessé de me répéter c'est qu'on n'arrivait jamais à suivre l'actualité de DÉSABUSÉ. Désormais vous n'avez plus d'excuses, tout est dans Audacieux ! Ou alors c'est peut être moi qui cherche des excuses pour me faire moi-même de la promo... Qui a dit que c'était interdit ?  C'est mon magasine alors je fait ce que je veux... love u

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Audacieux, le magazine par Désabusé Paris

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29/1/2022
Par Clément Rigaud


Crédit photo : HBO


<link-text>Audacieux<link-text> est le magazine de la création et si les arts ont parfois un rôle social, sociétal et s’attachent à montrer la pure réalité pour informer, sensibiliser, ils ont, pour une autre grande partie, toujours dénaturé la réalité. C’est un fait. L’art est une vision, celle d’un artiste qui cherche, parfois même volontairement, à regarder différemment <link-text>le monde qui l’entoure<link-text>.


Et de nombreux sujets comme celui de la santé mentale souffrent des stéréotypes que l'on nous sert depuis toujours. 

Alors non, une personne porteuse de TDI ne se transforme pas en une bête féroce qui grimpe aux murs et <hide-text>assassine<hide-text> son psychiatre. Une personne porteuse de <link-text>TSA<link-text> n’a pas véritablement hacké la NASA à 10 ans, etc, etc, etc.

Pourtant, j’aime le cinéma qui nous fait rêver, celui qui nous éloigne de la réalité et je ne veux pas qu’il disparaisse. Ne portons pas de mauvais procès aux arts qui nous font voyager. L’art de l’illusion, du rêve, doit perdurer. Après tout, on aime tous croire aux histoires d’amour alors qu'en réalité elles ont quand même tendance à différer de celles que l’on regarde sur Netflix

Mais aujourd’hui, de plus en plus de séries nous montrent la réalité des troubles psychiatriques. Elles normalisent un sujet important, ouvrent le dialogue et permettent à de nombreuses personnes d’enfin s’identifier aux personnages.


Et c’est pour cela qu’il est important d’avoir aussi des réalisateurs qui s’attachent à sortir des stéréotypes. Parce que pour différencier la réalité du fictif, encore faut-il connaître la vérité. Donc à toutes celles, ceux et celleux qui nous sortent h24 « c’est du cinéma, c’est bon, calmez vous », sachez que l’on vous voit verser des larmes à la fin de La La Land.


Bref, aujourd’hui on fait le tri des dernières sorties pour vous proposer le top 5 des séries qui mettent en lumière et avec justesse les troubles psys en 2021.

<p-title>ATYPICAL<p-title>

Netflix

<link-text>Atypical<link-text>, c’est d’abord Sam, un ado de 18 ans porteur de <link-text>troubles autistiques<link-text> et qui, comme tous les ados, cherche à construire son indépendance et à trouver l’amour. 

Décoder le langage non-verbal de ses proches, comprendre le second degré, les codes sociaux, aborder la séduction, bref, à travers le regard de Sam, la série aborde l’autisme et plus largement le handicap avec beaucoup de justesse, tantôt avec sensibilité, tantôt avec humour, mais sans jamais minimiser les bouleversements que cela peut engendrer sur une famille.

Et si on adore cette série, c’est justement parce qu’on suit aussi Casey, la sœur de Sam, dans son rapport à la famille, sa propre construction en tant qu’adolescente, sa relation protectrice avec son frère ; parce qu’on découvre un couple touchant, les inquiétudes de parents de porteurs de <link-text>TSA<link-text> ; bref, parce que l’axe narratif est ultra large et toujours captivant.

<link-text>Atypical<link-text>, vous en avez forcément entendu parlé, c’est signé <link-text>Robia Rashid<link-text> à la réalisation et diffusé par Netflix depuis 2017 et la saison 4 vient de sortir cette année. Bref, pour tous celles•ceux•celleux qui comme moi, sont souvent à la ramasse niveau séries, faites-nous confiance, c’est une valeur sûre.

<p-title>EUPHORIA<p-title>

©HBO

Lorsqu’une série peut se suffire à sa <link-text>BO<link-text>, déjà sans même chercher plus loin, je ne sais pas vous mais j’ai plutôt tendance à rentrer directement dans son univers. Mais alors quand la réalisation - la lumière, la couleur, la photographie - est d’une beauté absolue, quand les dialogues - l’intrigue, la voix off - sont juste tellement intelligents et parce que <link-text>Zendaya<link-text> - son interprétation et puis juste parce que c’est elle et qu’elle révèle le sujet de l'addiction d’une manière ultra réaliste - bref, parce que c’est un chef-d’œuvre comme on en voit rarement passer, <link-text>Euphoria<link-text> va vous transporter.

Une série qui traite de l'addiction à travers le spectre de l’adolescence, de la recherche identitaire et avec beaucoup de réalisme : une déclaration à la différence, à la bienveillance et avec tous les enjeux de l'addiction chez un ado <link-text>neuroatypique<link-text>.

<link-text>Euphoria<link-text>, c’est disponible sur HBO, signé <link-text>Sam Levinson<link-text> et ses plans-séquences magiques et c’est même produit par Drake, oui petite anecdote à placer ce soir quand vous lancerez la série.

<p-title>NEW AMSTERDAM<p-title>

A ©NBC serie - ©Prime Video exclusive

Alors si l'on parlait jusqu’à présent de réalisme, cette série ne l’est clairement pas sur de nombreux points et vous savez quoi ? C’est justement pour cela qu’on l’aime tant ! 

Il faut tout de même bien l’avouer, tout le monde rêverait d’avoir Docteur Frome comme psychiatre. Et puis un médecin qui annule tous ces rendez-vous le jour même pour aider un cas particulier qui lui a rappelé son enfance en 4e quand il s’était lui-même fait <hide-text>harcelé<hide-text> par des jeunes mal dans leur peau, euh.. Ce serait trop beau ! 

Mais <link-text>New amsterdam<link-text>, c’est surtout une série qui sait frapper où ça fait mal en dénonçant les inégalités du système de santé aux États-Unis. Alors quand Max arrive à la direction du plus ancien hôpital public d’Amérique, il veut tout changer. Le moyen pour nous d’être bouleversé par leurs patients mais aussi captivé par le quotidien de nos héros préférés, au sein de l’hôpital comme dans leurs vies à l'extérieur.

<link-text>New amsterdam<link-text>, c’est cette série qui nous fait rêver d’un système hospitalier utopique certes, mais ultra bienveillant, tourné vers l’autre, ouvert à la différence et ça fait du bien.

Et à travers les épisodes, le créateur <link-text>David Schulner<link-text> traite avec simplicité et tout de même beaucoup de justesse de sujets sérieux comme le handicap, la transidentité, la sexualité ou bien même notre rapport à la <hide-text>mort<hide-text> en nous poussant sans cesse à regarder l’autre avec indulgence et bonté.

Une série inspirée par le plus ancien hôpital public d’Amérique et les mémoires du Dr. Eric Manheimer "Douze patients : la vie et la mort à l'hôpital de Bellevue".

Les trois premiers épisodes de la saison 3 sortent en France ce mercredi 17 novembre sur TF1 et devraient suivre sur Netflix et Amazon prime vidéo en ce début d’année prochaine.



<p-title>NORMAL PEOPLE<p-title>

©BBC | Trailer by Hulu

C’était inévitable, il fallait que l’on parle, au moins une fois dans cet article, d’une histoire d’amour. Et <link-text>Normal people<link-text> est bien plus qu’une histoire d’amour aux allures d’un pitch déjà-vu. 

À la fois dure et douce, sensible et fragile, cette série dessine le monde à travers notre rapport aux corps, au regard d’autrui, à l’intime et en abordant l’histoire d’amour comme l’expression de nos émotions les plus refoulées. Et en ouvrant le dialogue sur le harcèlement, la sexualité, la dépression, l’angoisse, les violences familiales et même les classes sociales, <link-text>Normal people<link-text> est d’une richesse infinie. À découvrir sur MyCanal, et Amazon Prime vidéo entre autre.

<p-title>MENTAL<p-title>

By France TV Slash

<link-text>Mental<link-text>, c’est ma dernière découverte signée France TV Slash

Adaptée d'un format finlandais, la série nous fait suivre les jeunes patients de la clinique pédopsychiatrique des Primevères. À travers ses personnages ultra attachants, <link-text>Mental<link-text> aborde la bipolarité, les troubles de l’attachement ou l’impulsivité en rendant accessibles les sujets parfois complexes des troubles psychiatriques.

Et parce qu’on n'entend jamais assez parler de France TV Slash alors qu’ils diffusent et produisent une tonne de pépites chaque année, <link-text>Mental<link-text>, c’est à découvrir GRATUITEMENT, dès maintenant sur <link-text>francetv.fr<link-text>.



L,
Lesbienne, une femme éprouvant une attirance sexuelle envers une femme.

G, Gay, un homme éprouvant une attirance sexuelle envers un homme.

B, Bi, une personne ayant une attirance sexuelle envers deux, plusieurs ou tous les genres.

T, Trans, une personne dont l'identité de genre ne correspond pas au genre assigné à la naissance.
("Trans", c'est qu'on entend quand on parle de l'identité de quelqu'un, pas d'amalgame, ce n'est absolument pas une orientation sexuelle.)

Q, Queer. C'est un terme large qui englobe l'ensemble des personnes ayant une sexualité ou une identité de genre différentes de l'hétérosexualité ou de la cisidentité.

I, Intersexe. Ce terme ne désigne ni une orientation sexuelle ni une identité de genre. Il désigne les personnes qui sont anatomiquement né ni homme, ni femme. Le mannequin Hanne Gaby Odiele par exemple, qui a posé pour Chanel, Dior, Vuitton et j'en passe.. a révélée être intersexe. Elle était née "garçon" avec un chromosome X et un Y mais ressemblait à une fille. Son corps était résistant aux androgènes, des hormones qui stimulent le développement et le maintien des caractères mâles chez les vertébrés comme l'Homme.

A, Asexuel, une personne n'ayant pas d'attirance physique et|ou revendiquant ne pas ressentir le besoin de s'engager dans des relations sexuelles.

Q, Questioning, une personne qui se questionne sur sa sexualité.

P, Pansexuel, une personne pour qui l'identité de genre d'une personne n'a pas d'impact sur son attirance.



edito audacieux
5/11/2021
Faire passer la souris sur les mots cachés pour les lire

Santé mentale : Le top 5 des séries en 2021

Par Clément Rigaud

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Santé mentale : Le top 5 des séries en 2021

Et en cette période d’incessants élans de faux espoirs, je vous propose de nous échapper, de me suivre et de découvrir avec moi les jeunes artistes d’aujourd’hui et de demain. Et parce qu’elle le disait si bien «il y a une différence entre expliquer ce que tu fais et le montrer», je vous invite surtout à découvrir le premier épisode d’Allusion, disponible dimanche 6 juin sur Spotify.

Alors oui, pour tous ceux qui suivent, ne serait-ce qu’un tout petit peu, l’actualité du studio, vous l’aurez compris, c’est avec celle qui m’a suivi pendant deux grosses semaines en Bretagne que j’amorce cette initiative : j’ai nommé ClemClem.

Et bien oui, c’est peut-être l’unique conseil qu’AUDACIEUX peut vous donner, après avoir ouvert les yeux, refermés les et ouvrez les oreilles.

Allusion le podcast disponible juste ici
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Santé mentale : Le top 5 des séries en 2021
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Vous avez ressorti ce bon vieux lecteur CD qui date de 30 ans et que vous avez retrouvé en faisant du rangement parce que oui, vous avez fait du rangement. Et comme d’un esprit un peu trop nostalgique, vous vous laissez guider par le son des écouteurs. Ah... C’était la belle époque.
Vous regardez par la fenêtre pour capter une nuance de sociabilité mais en tournant ne serait-ce que légèrement la tête, vous faite sauter le disque. Alors ? Qui tiendra le plus longtemps ? Vous, ou ce bon vieux The Razors Edge d’AC/DC ?
Vous l’aurez compris, DÉSABUSÉ soutient la création et si je parle de Veillée, c’est parce que SUSPENSION reprend le même schéma : soutenir les jeunes artistes émergents. Et si toutefois vous aviez besoin de quelque chose d’encore un plus plus frais, de plus «désabusé», la RADIO est toujours disponible, elle aussi sur spotify.

Bref, si vous avez besoin de musique pour tenir bon en ce troisième incessant confinement ; parce qu’appelons un chat un chat : nous ne pouvons rien faire donc nous sommes bien « confinés » ;  et bien vous pouvez tout de même être sur d'une chose : vous trouverez forcement chaussure à votre pied, du moins en attendant de se voir en live...
Un rythme que la plupart des acteurs du domaine associatif ont du mal à suivre et c’est bien normal. Alors après le report de l’édition de 2020, la Fédération Musicale de Savoie réouvre ses portes à l’ensemble de ses adhérents pour l’édition de 2021. On se donne donc rendez-vous le samedi 26 juin pour parler design et communication associative.

Et quand le graphisme rime aujourd’hui avec pollution visuelle, que de réelles initiatives qui font du bien se noient aux cotés d’attrapes rêves bouffeurs d’argents et que certains acteurs importants de la vie culturelle succombent à la vie numérique bien trop abstraite pour eux, prendre la parole, éduquer, sensibiliser, ouvrir le regard, devient une réelle action sociale, d’une importance toute particulière pour chaque vrai designer.

Laisse

Santé mentale : Le top 5 des séries en 2021

<link-text>Audacieux<link-text> est le magazine de la création et si les arts ont parfois un rôle social, sociétal et s’attachent à montrer la pure réalité pour informer, sensibiliser, ils ont, pour une autre grande partie, toujours dénaturé la réalité. C’est un fait. L’art est une vision, celle d’un artiste qui cherche, parfois même volontairement, à regarder différemment <link-text>le monde qui l’entoure<link-text>.


Et de nombreux sujets comme celui de la santé mentale souffrent des stéréotypes que l'on nous sert depuis toujours. 

Alors non, une personne porteuse de TDI ne se transforme pas en une bête féroce qui grimpe aux murs et <hide-text>assassine<hide-text> son psychiatre. Une personne porteuse de <link-text>TSA<link-text> n’a pas véritablement hacké la NASA à 10 ans, etc, etc, etc.

Pourtant, j’aime le cinéma qui nous fait rêver, celui qui nous éloigne de la réalité et je ne veux pas qu’il disparaisse. Ne portons pas de mauvais procès aux arts qui nous font voyager. L’art de l’illusion, du rêve, doit perdurer. Après tout, on aime tous croire aux histoires d’amour alors qu'en réalité elles ont quand même tendance à différer de celles que l’on regarde sur Netflix

<link-text>Audacieux<link-text> est le magazine de la création et si les arts ont parfois un rôle social, sociétal et s’attachent à montrer la pure réalité pour informer, sensibiliser, ils ont, pour une autre grande partie, toujours dénaturé la réalité. C’est un fait. L’art est une vision, celle d’un artiste qui cherche, parfois même volontairement, à regarder différemment <link-text>le monde qui l’entoure<link-text>.


Et de nombreux sujets comme celui de la santé mentale souffrent des stéréotypes que l'on nous sert depuis toujours. 

Alors non, une personne porteuse de TDI ne se transforme pas en une bête féroce qui grimpe aux murs et <hide-text>assassine<hide-text> son psychiatre. Une personne porteuse de <link-text>TSA<link-text> n’a pas véritablement hacké la NASA à 10 ans, etc, etc, etc.

Pourtant, j’aime le cinéma qui nous fait rêver, celui qui nous éloigne de la réalité et je ne veux pas qu’il disparaisse. Ne portons pas de mauvais procès aux arts qui nous font voyager. L’art de l’illusion, du rêve, doit perdurer. Après tout, on aime tous croire aux histoires d’amour alors qu'en réalité elles ont quand même tendance à différer de celles que l’on regarde sur Netflix

Mais aujourd’hui, de plus en plus de séries nous montrent la réalité des troubles psychiatriques. Elles normalisent un sujet important, ouvrent le dialogue et permettent à de nombreuses personnes d’enfin s’identifier aux personnages.


Et c’est pour cela qu’il est important d’avoir aussi des réalisateurs qui s’attachent à sortir des stéréotypes. Parce que pour différencier la réalité du fictif, encore faut-il connaître la vérité. Donc à toutes celles, ceux et celleux qui nous sortent h24 « c’est du cinéma, c’est bon, calmez vous », sachez que l’on vous voit verser des larmes à la fin de La La Land.


Bref, aujourd’hui on fait le tri des dernières sorties pour vous proposer le top 5 des séries qui mettent en lumière et avec justesse les troubles psys en 2021.

<p-title>ATYPICAL<p-title>

Netflix

<link-text>Atypical<link-text>, c’est d’abord Sam, un ado de 18 ans porteur de <link-text>troubles autistiques<link-text> et qui, comme tous les ados, cherche à construire son indépendance et à trouver l’amour. 

Décoder le langage non-verbal de ses proches, comprendre le second degré, les codes sociaux, aborder la séduction, bref, à travers le regard de Sam, la série aborde l’autisme et plus largement le handicap avec beaucoup de justesse, tantôt avec sensibilité, tantôt avec humour, mais sans jamais minimiser les bouleversements que cela peut engendrer sur une famille.

Et si on adore cette série, c’est justement parce qu’on suit aussi Casey, la sœur de Sam, dans son rapport à la famille, sa propre construction en tant qu’adolescente, sa relation protectrice avec son frère ; parce qu’on découvre un couple touchant, les inquiétudes de parents de porteurs de <link-text>TSA<link-text> ; bref, parce que l’axe narratif est ultra large et toujours captivant.

<link-text>Atypical<link-text>, vous en avez forcément entendu parlé, c’est signé <link-text>Robia Rashid<link-text> à la réalisation et diffusé par Netflix depuis 2017 et la saison 4 vient de sortir cette année. Bref, pour tous celles•ceux•celleux qui comme moi, sont souvent à la ramasse niveau séries, faites-nous confiance, c’est une valeur sûre.

<p-title>EUPHORIA<p-title>

©HBO

Lorsqu’une série peut se suffire à sa <link-text>BO<link-text>, déjà sans même chercher plus loin, je ne sais pas vous mais j’ai plutôt tendance à rentrer directement dans son univers. Mais alors quand la réalisation - la lumière, la couleur, la photographie - est d’une beauté absolue, quand les dialogues - l’intrigue, la voix off - sont juste tellement intelligents et parce que <link-text>Zendaya<link-text> - son interprétation et puis juste parce que c’est elle et qu’elle révèle le sujet de l'addiction d’une manière ultra réaliste - bref, parce que c’est un chef-d’œuvre comme on en voit rarement passer, <link-text>Euphoria<link-text> va vous transporter.

Une série qui traite de l'addiction à travers le spectre de l’adolescence, de la recherche identitaire et avec beaucoup de réalisme : une déclaration à la différence, à la bienveillance et avec tous les enjeux de l'addiction chez un ado <link-text>neuroatypique<link-text>.

<link-text>Euphoria<link-text>, c’est disponible sur HBO, signé <link-text>Sam Levinson<link-text> et ses plans-séquences magiques et c’est même produit par Drake, oui petite anecdote à placer ce soir quand vous lancerez la série.

<p-title>NEW AMSTERDAM<p-title>

A ©NBC serie - ©Prime Video exclusive

Alors si l'on parlait jusqu’à présent de réalisme, cette série ne l’est clairement pas sur de nombreux points et vous savez quoi ? C’est justement pour cela qu’on l’aime tant ! 

Il faut tout de même bien l’avouer, tout le monde rêverait d’avoir Docteur Frome comme psychiatre. Et puis un médecin qui annule tous ces rendez-vous le jour même pour aider un cas particulier qui lui a rappelé son enfance en 4e quand il s’était lui-même fait <hide-text>harcelé<hide-text> par des jeunes mal dans leur peau, euh.. Ce serait trop beau ! 

Mais <link-text>New amsterdam<link-text>, c’est surtout une série qui sait frapper où ça fait mal en dénonçant les inégalités du système de santé aux États-Unis. Alors quand Max arrive à la direction du plus ancien hôpital public d’Amérique, il veut tout changer. Le moyen pour nous d’être bouleversé par leurs patients mais aussi captivé par le quotidien de nos héros préférés, au sein de l’hôpital comme dans leurs vies à l'extérieur.

<link-text>New amsterdam<link-text>, c’est cette série qui nous fait rêver d’un système hospitalier utopique certes, mais ultra bienveillant, tourné vers l’autre, ouvert à la différence et ça fait du bien.

Et à travers les épisodes, le créateur <link-text>David Schulner<link-text> traite avec simplicité et tout de même beaucoup de justesse de sujets sérieux comme le handicap, la transidentité, la sexualité ou bien même notre rapport à la <hide-text>mort<hide-text> en nous poussant sans cesse à regarder l’autre avec indulgence et bonté.

Une série inspirée par le plus ancien hôpital public d’Amérique et les mémoires du Dr. Eric Manheimer "Douze patients : la vie et la mort à l'hôpital de Bellevue".

Les trois premiers épisodes de la saison 3 sortent en France ce mercredi 17 novembre sur TF1 et devraient suivre sur Netflix et Amazon prime vidéo en ce début d’année prochaine.



<p-title>NORMAL PEOPLE<p-title>

©BBC | Trailer by Hulu

C’était inévitable, il fallait que l’on parle, au moins une fois dans cet article, d’une histoire d’amour. Et <link-text>Normal people<link-text> est bien plus qu’une histoire d’amour aux allures d’un pitch déjà-vu. 

À la fois dure et douce, sensible et fragile, cette série dessine le monde à travers notre rapport aux corps, au regard d’autrui, à l’intime et en abordant l’histoire d’amour comme l’expression de nos émotions les plus refoulées. Et en ouvrant le dialogue sur le harcèlement, la sexualité, la dépression, l’angoisse, les violences familiales et même les classes sociales, <link-text>Normal people<link-text> est d’une richesse infinie. À découvrir sur MyCanal, et Amazon Prime vidéo entre autre.

<p-title>MENTAL<p-title>

By France TV Slash

<link-text>Mental<link-text>, c’est ma dernière découverte signée France TV Slash

Adaptée d'un format finlandais, la série nous fait suivre les jeunes patients de la clinique pédopsychiatrique des Primevères. À travers ses personnages ultra attachants, <link-text>Mental<link-text> aborde la bipolarité, les troubles de l’attachement ou l’impulsivité en rendant accessibles les sujets parfois complexes des troubles psychiatriques.

Et parce qu’on n'entend jamais assez parler de France TV Slash alors qu’ils diffusent et produisent une tonne de pépites chaque année, <link-text>Mental<link-text>, c’est à découvrir GRATUITEMENT, dès maintenant sur <link-text>francetv.fr<link-text>.



L,
Lesbienne, une femme éprouvant une attirance sexuelle envers une femme.

G, Gay, un homme éprouvant une attirance sexuelle envers un homme.

B, Bi, une personne ayant une attirance sexuelle envers deux, plusieurs ou tous les genres.

T, Trans, une personne dont l'identité de genre ne correspond pas au genre assigné à la naissance.
("Trans", c'est qu'on entend quand on parle de l'identité de quelqu'un, pas d'amalgame, ce n'est absolument pas une orientation sexuelle.)

Q, Queer. C'est un terme large qui englobe l'ensemble des personnes ayant une sexualité ou une identité de genre différentes de l'hétérosexualité ou de la cisidentité.

I, Intersexe. Ce terme ne désigne ni une orientation sexuelle ni une identité de genre. Il désigne les personnes qui sont anatomiquement né ni homme, ni femme. Le mannequin Hanne Gaby Odiele par exemple, qui a posé pour Chanel, Dior, Vuitton et j'en passe.. a révélée être intersexe. Elle était née "garçon" avec un chromosome X et un Y mais ressemblait à une fille. Son corps était résistant aux androgènes, des hormones qui stimulent le développement et le maintien des caractères mâles chez les vertébrés comme l'Homme.

A, Asexuel, une personne n'ayant pas d'attirance physique et|ou revendiquant ne pas ressentir le besoin de s'engager dans des relations sexuelles.

Q, Questioning, une personne qui se questionne sur sa sexualité.

P, Pansexuel, une personne pour qui l'identité de genre d'une personne n'a pas d'impact sur son attirance.



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Un article du magazine Audacieux

<link-text>Audacieux<link-text> est le magazine de la création et si les arts ont parfois un rôle social, sociétal et s’attachent à montrer la pure réalité pour informer, sensibiliser, ils ont, pour une autre grande partie, toujours dénaturé la réalité. C’est un fait. L’art est une vision, celle d’un artiste qui cherche, parfois même volontairement, à regarder différemment <link-text>le monde qui l’entoure<link-text>.


Et de nombreux sujets comme celui de la santé mentale souffrent des stéréotypes que l'on nous sert depuis toujours. 

Alors non, une personne porteuse de TDI ne se transforme pas en une bête féroce qui grimpe aux murs et <hide-text>assassine<hide-text> son psychiatre. Une personne porteuse de <link-text>TSA<link-text> n’a pas véritablement hacké la NASA à 10 ans, etc, etc, etc.

Pourtant, j’aime le cinéma qui nous fait rêver, celui qui nous éloigne de la réalité et je ne veux pas qu’il disparaisse. Ne portons pas de mauvais procès aux arts qui nous font voyager. L’art de l’illusion, du rêve, doit perdurer. Après tout, on aime tous croire aux histoires d’amour alors qu'en réalité elles ont quand même tendance à différer de celles que l’on regarde sur Netflix

Mais aujourd’hui, de plus en plus de séries nous montrent la réalité des troubles psychiatriques. Elles normalisent un sujet important, ouvrent le dialogue et permettent à de nombreuses personnes d’enfin s’identifier aux personnages.


Et c’est pour cela qu’il est important d’avoir aussi des réalisateurs qui s’attachent à sortir des stéréotypes. Parce que pour différencier la réalité du fictif, encore faut-il connaître la vérité. Donc à toutes celles, ceux et celleux qui nous sortent h24 « c’est du cinéma, c’est bon, calmez vous », sachez que l’on vous voit verser des larmes à la fin de La La Land.


Bref, aujourd’hui on fait le tri des dernières sorties pour vous proposer le top 5 des séries qui mettent en lumière et avec justesse les troubles psys en 2021.

<p-title>ATYPICAL<p-title>

Netflix

<link-text>Atypical<link-text>, c’est d’abord Sam, un ado de 18 ans porteur de <link-text>troubles autistiques<link-text> et qui, comme tous les ados, cherche à construire son indépendance et à trouver l’amour. 

Décoder le langage non-verbal de ses proches, comprendre le second degré, les codes sociaux, aborder la séduction, bref, à travers le regard de Sam, la série aborde l’autisme et plus largement le handicap avec beaucoup de justesse, tantôt avec sensibilité, tantôt avec humour, mais sans jamais minimiser les bouleversements que cela peut engendrer sur une famille.

Et si on adore cette série, c’est justement parce qu’on suit aussi Casey, la sœur de Sam, dans son rapport à la famille, sa propre construction en tant qu’adolescente, sa relation protectrice avec son frère ; parce qu’on découvre un couple touchant, les inquiétudes de parents de porteurs de <link-text>TSA<link-text> ; bref, parce que l’axe narratif est ultra large et toujours captivant.

<link-text>Atypical<link-text>, vous en avez forcément entendu parlé, c’est signé <link-text>Robia Rashid<link-text> à la réalisation et diffusé par Netflix depuis 2017 et la saison 4 vient de sortir cette année. Bref, pour tous celles•ceux•celleux qui comme moi, sont souvent à la ramasse niveau séries, faites-nous confiance, c’est une valeur sûre.

<p-title>EUPHORIA<p-title>

©HBO

Lorsqu’une série peut se suffire à sa <link-text>BO<link-text>, déjà sans même chercher plus loin, je ne sais pas vous mais j’ai plutôt tendance à rentrer directement dans son univers. Mais alors quand la réalisation - la lumière, la couleur, la photographie - est d’une beauté absolue, quand les dialogues - l’intrigue, la voix off - sont juste tellement intelligents et parce que <link-text>Zendaya<link-text> - son interprétation et puis juste parce que c’est elle et qu’elle révèle le sujet de l'addiction d’une manière ultra réaliste - bref, parce que c’est un chef-d’œuvre comme on en voit rarement passer, <link-text>Euphoria<link-text> va vous transporter.

Une série qui traite de l'addiction à travers le spectre de l’adolescence, de la recherche identitaire et avec beaucoup de réalisme : une déclaration à la différence, à la bienveillance et avec tous les enjeux de l'addiction chez un ado <link-text>neuroatypique<link-text>.

<link-text>Euphoria<link-text>, c’est disponible sur HBO, signé <link-text>Sam Levinson<link-text> et ses plans-séquences magiques et c’est même produit par Drake, oui petite anecdote à placer ce soir quand vous lancerez la série.

<p-title>NEW AMSTERDAM<p-title>

A ©NBC serie - ©Prime Video exclusive

Alors si l'on parlait jusqu’à présent de réalisme, cette série ne l’est clairement pas sur de nombreux points et vous savez quoi ? C’est justement pour cela qu’on l’aime tant ! 

Il faut tout de même bien l’avouer, tout le monde rêverait d’avoir Docteur Frome comme psychiatre. Et puis un médecin qui annule tous ces rendez-vous le jour même pour aider un cas particulier qui lui a rappelé son enfance en 4e quand il s’était lui-même fait <hide-text>harcelé<hide-text> par des jeunes mal dans leur peau, euh.. Ce serait trop beau ! 

Mais <link-text>New amsterdam<link-text>, c’est surtout une série qui sait frapper où ça fait mal en dénonçant les inégalités du système de santé aux États-Unis. Alors quand Max arrive à la direction du plus ancien hôpital public d’Amérique, il veut tout changer. Le moyen pour nous d’être bouleversé par leurs patients mais aussi captivé par le quotidien de nos héros préférés, au sein de l’hôpital comme dans leurs vies à l'extérieur.

<link-text>New amsterdam<link-text>, c’est cette série qui nous fait rêver d’un système hospitalier utopique certes, mais ultra bienveillant, tourné vers l’autre, ouvert à la différence et ça fait du bien.

Et à travers les épisodes, le créateur <link-text>David Schulner<link-text> traite avec simplicité et tout de même beaucoup de justesse de sujets sérieux comme le handicap, la transidentité, la sexualité ou bien même notre rapport à la <hide-text>mort<hide-text> en nous poussant sans cesse à regarder l’autre avec indulgence et bonté.

Une série inspirée par le plus ancien hôpital public d’Amérique et les mémoires du Dr. Eric Manheimer "Douze patients : la vie et la mort à l'hôpital de Bellevue".

Les trois premiers épisodes de la saison 3 sortent en France ce mercredi 17 novembre sur TF1 et devraient suivre sur Netflix et Amazon prime vidéo en ce début d’année prochaine.



<p-title>NORMAL PEOPLE<p-title>

©BBC | Trailer by Hulu

C’était inévitable, il fallait que l’on parle, au moins une fois dans cet article, d’une histoire d’amour. Et <link-text>Normal people<link-text> est bien plus qu’une histoire d’amour aux allures d’un pitch déjà-vu. 

À la fois dure et douce, sensible et fragile, cette série dessine le monde à travers notre rapport aux corps, au regard d’autrui, à l’intime et en abordant l’histoire d’amour comme l’expression de nos émotions les plus refoulées. Et en ouvrant le dialogue sur le harcèlement, la sexualité, la dépression, l’angoisse, les violences familiales et même les classes sociales, <link-text>Normal people<link-text> est d’une richesse infinie. À découvrir sur MyCanal, et Amazon Prime vidéo entre autre.

<p-title>MENTAL<p-title>

By France TV Slash

<link-text>Mental<link-text>, c’est ma dernière découverte signée France TV Slash

Adaptée d'un format finlandais, la série nous fait suivre les jeunes patients de la clinique pédopsychiatrique des Primevères. À travers ses personnages ultra attachants, <link-text>Mental<link-text> aborde la bipolarité, les troubles de l’attachement ou l’impulsivité en rendant accessibles les sujets parfois complexes des troubles psychiatriques.

Et parce qu’on n'entend jamais assez parler de France TV Slash alors qu’ils diffusent et produisent une tonne de pépites chaque année, <link-text>Mental<link-text>, c’est à découvrir GRATUITEMENT, dès maintenant sur <link-text>francetv.fr<link-text>.



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LES DROITS DES PERSONNES LGBT EN FRANCE :

Aujourd'hui c'est l'occasion, en abordant les droits des personnes LGBT, de faire la rétrospective d'une révolution sexuelle qui dure, évolue et s'affirme depuis des siècles. Un peu d'histoire donc, ça ne fait pas de mal, surtout lorsqu'on peut se remémorer celle, ceux et celles qui se sont battus pour que les pensées évoluent.

1791

La Révolution française décriminalise les relations homosexuelles.

1945

Distinction entre les sexualités & l’âge pour les rapports sexuels. 21 ans pour les rapports homosexuels & 13 ans pour les rapports hétérosexuels.

1965

Doublage de la peine minimum pour outrage public à la pudeur lorsqu’il s’agissait de rapports homosexuels.

1974

L’âge de majorité sexuelle pour les rapports homosexuels est abaissé à 18 ans, puisque la loi change l’âge de majorité.

1978

La loi va passer de la répression de l’homosexualité à celle de l’homophobie.

1980

Supression du doublage de peine établit en 1960.

1982

Législation discriminatoire concernant l’âge de consentement est abolie.

1983

Discrimination dans la possibilité de donner son sang pour les personnes homosexuelles, suite à l’épidémie du sida.

1985

Protection contre les discriminations en raison de l’orientation sexuelle.

1999

Les couples de même sexe sont reconnus par le concubinage, & adoption possible mais qu’en tant que célibataire.

2004

L’homophobie fait partit des motifs de discriminations, & peine établie lors de propos publics incitant à la haine, diffamatoire ou injurieux en raison de l’orientation sexuelle.

2005

Peine pour la diffamation, l’injure & la provocation à la haine non publiques

2010

La transidentité n’est plus considérée comme une maladie mentale.

2013

Le mariage des couples de même sexe, & adoption possible par les couples homosexuels mariés, ainsi que l’adoption de l’enfant du conjoint au sein d’un couple marié.

2015

Interdiction de toute discrimination pour le don du sang en raison de son orientation sexuelle.

2016

Les HSH (homme ayant des rapports sexuels avec un ou d'autres hommes) ayant été abstinents pendant 1 an peuvent alors donner leur sang, cet arrêté prend effet à partir du 10 juillet de la même année. De plus, les personnes dans une relation stable depuis 4 mois ou qui ont été abstinents pendant 4 mois, peuvent donner leur plasma sanguin pour des études.

2016

Reconnaissance de l’identité de genre comme l’un des critères de discrimination.

2016

Changement d’état civil pour les personnes trans établit (gratuitement & en mairie pour le prénom, mais la décision d’un tribunal pour le genre est toujours d’actualité), & sans l’obligation d’intervention chirurgicale.

2017

Reconnaissance de la transphobie comme une circonstance aggravante applicable à l’ensemble des crimes ou des délits punis d’une peine d’emprisonnement.

2019

Autorisation d’insémination artificielle avec donneur aux femmes cis, & non aux personnes trans.

2020

L’arrêté de 2019 est abaissé de 12 à 4 mois, pour la durée d’abstinence permettant aux HSH de donner leur sang.

2021

Depuis août 2021, les couples de femmes ont accès à la procréation médicalement assistée (PMA), au même titre que les femmes seules et les femmes en couple avec un homme.

2021

L'UE déclarée zone de liberté LGBTIQ. Une résolution qui reconnaît l’ensemble du territoire européen comme "zone de liberté LGBTIQ"(nouvelle fenêtre) et rappelle que les autorités nationales dans l’ensemble de l’Union, devraient protéger et promouvoir l’égalité et les droits fondamentaux pour tous, y compris pour les personnes LGBTIQ.

2020_2013

Le "Plan national d’actions pour l’égalité, contre la haine et les discriminations anti-LGBT+" continu. Cette action liste 42 mesures concernant tous les domaines de la vie quotidienne : la sphère familiale, l’école, l’université, le travail, le sport, la santé, etc. Entre autres :
  • L’ouverture de la procréation médicalement assistée (PMA) aux couples de femmes et aux femmes célibataires    La facilitation de l’utilisation du prénom d’usage pour les personnes trans dans les documents administratifs non officiels pour les agents de la fonction publique comme pour les usagers  
  • L’élaboration d’un guide sur l’accueil des élèves et des étudiants trans à destination de l’ensemble du personnel de l’Éducation nationale et de l’Enseignement supérieur    
  • La lutte contre les thérapies dites « de conversion »    La poursuite de l’adaptation des formulaires administratifs afin d’inclure les familles homoparentales    
  • Le développement de la formation continue des référents LGBT+ au sein des commissariats de police et des brigades de gendarmerie

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