Donner la parole
7/11/2021

Donner la parole

Par Charlie

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<tw-white>TW : idées suicidaires | agressions | harcélement<tw-white>

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Si il y a bien une chose qu'on n'a cessé de me répéter c'est qu'on n'arrivait jamais à suivre l'actualité de DÉSABUSÉ. Désormais vous n'avez plus d'excuses, tout est dans Audacieux ! Ou alors c'est peut être moi qui cherche des excuses pour me faire moi-même de la promo... Qui a dit que c'était interdit ?  C'est mon magasine alors je fait ce que je veux... love u

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Audacieux, le magazine par Désabusé Paris

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Cet article, je l’écris comme une lettre à toi, mais aussi à moi-même, mon ‘‘moi’’ de la maternelle. Parce que j’aurais aimé lire & savoir tout ce qui va suivre étant plus jeune. Tout cela m’aurait épargné le fait de me forcer à sortir constamment avec des garçons pendant des années parce que je suis assigné.e femme à la naissance, tout en sortant avec des filles en secret derrière qui je cachais ma <link-text>pansexualité<link-text>. Tout cela m’aurait peut-être épargné ces années de questionnement <link-text>d’identité de genre<link-text>, encore présentes aujourd’hui.

Tout cela m’aurait évité de faire mon coming-out <link-text>pan<link-text>, m’évitera peut-être de faire mon coming-out <link-text>trans<link-text> ou non-binaire. Tant de questions, de <hide-text>haine de soi<hide-text>, d’<hide-text>idées suicidaires<hide-text>, de replis, de mensonges, de <hide-text>harcèlement<hide-text>, d’<hide-text>agressions<hide-text>... Depuis quelque temps, j’ose enfin l'ouvrir & qu’est-ce que ça fait du bien ! Bref, si je ne m’arrête pas de raconter ma vie, cet article ne va jamais en finir alors je te laisse à la lecture.

Certain.e.s font la réflexion que la <link-text>pride<link-text> ne sert plus à rien aujourd’hui, que ce soit celle de nuit ou celle de jour, parce qu’effectivement, vu de l'extérieur, on ne dirait pas que cet événement à un impact. On peut avoir l’impression que ce sont tout simplement des personnes qui font la fête & dont quelques-un.e.s s’embrassent dans la rue, avec différents drapeaux colorés. Mais en fait, tu n’imagines pas l’importance de cet événement, la <link-text>pride<link-text> permet encore aujourd’hui de réclamer nos droits, de nous donner de la visibilité, de voir que tu n’es pas seul.e, de se retrouver dans un endroit <link-text>safe<link-text>, de retrouver toutes sortes de personnes avec qui tu peux être <link-text>out<link-text>, parler tranquillement, te sentir libre & fort.e !

Alors non, nous n’arrêterons pas d’aller à la <link-text>pride<link-text> ! Non, nous n’arrêterons pas de manifester. Non, nous n’arrêterons pas de vouloir nous sentir accepté.e.s & en sécurité. Non, nous n’arrêterons pas de vouloir être libre & nous-même.

À Stonewall en 1969 il eu la première pride, qui était en vérité une émeute. Depuis tout ce temps, il y a des <link-text>prides<link-text> chaque année. Depuis 1 an, elles peuvent même être virtuelles grâce aux réseaux sociaux. Ce qui reste, ce qu’il ne faut pas oublier, c’est que les droits & les libertés que nous avons aujourd’hui (même si, on est d’accord, il n’y en a pas assez) sont là grâce aux travailleur.euse.s du sexe, aux personnes trans, aux personnes racisées, aux lesbiennes... Merci à vous !

<p-title>17 mai, journée internationale contre les lgbt+phobies.<p-title>

Cette journée a été créée pour attirer l’attention sur les discriminations & les violences vécues par les personnes lgbt+.

Si tu es hétérosexuel.le, c’est ok. Si tu es gay, c’est ok. Si tu es lesbienne, c'est ok. Si tu es bisexuel.le, c’est ok. Si tu es pansexuel.le, c’est ok. Si tu es asexuel.le, c’est ok. Si tu es aromantique, c’est ok. Les personnes ayant une autre sexualité qu’hétérosexuelle sont normales. Si tu es un homme ou une femme cisgenre, c’est ok. Si tu es un homme ou une femme trangenre, c’est ok. Si tu es une personne non-binaire, transgenre ou non, c’est ok.

N’attends pas d’être validé.e par les autres, toi seul.e connais ta sexualité & ton <link-text>d’identité de genre<link-text> (& on sait tous.x.tes que c’est parfois dur !)

J’aurais tellement de choses à te dire.. mais je veux que tu saches que tu n’es pas seul.e. N’hésite pas à demander de l’aide, que ce soit auprès de tes ami.e.s, de ta famille & d’associations (il y en a pleins qui existent & qui sont là pour ça). Aussi, le coming-out reste bien trop perçu comme un passage obligatoire, que nenni ! Il est à toi de faire le choix de le faire, ou non, & aux personnes que tu le souhaites, ainsi que le moment opportun.


Accepte-toi, aime-toi & sois toi-même, c’est important. L’amour, la sexualité & la lutte pour l’égalité sont des points qui ne disparaîtrons pas. Alors on va continuer à se battre, & on n'abandonnera pas, promis. Tu as tout mon amour & mon courage.



Cet article, je l’écris comme une lettre à toi, mais aussi à moi-même, mon ‘‘moi’’ de la maternelle. Parce que j’aurais aimé lire & savoir tout ce qui va suivre étant plus jeune. Tout cela m’aurait épargné le fait de me forcer à sortir constamment avec des garçons pendant des années parce que je suis assigné.e femme à la naissance, tout en sortant avec des filles en secret derrière qui je cachais ma <link-text>pansexualité<link-text>. Tout cela m’aurait peut-être épargné ces années de questionnement <link-text>d’identité de genre<link-text>, encore présentes aujourd’hui.

Tout cela m’aurait évité de faire mon coming-out <link-text>pan<link-text>, m’évitera peut-être de faire mon coming-out <link-text>trans<link-text> ou non-binaire. Tant de questions, de <hide-text>haine envers soi<hide-text>, d’<hide-text>idées suicidaires<hide-text>, de replis, de mensonges, de <hide-text>harcèlement<hide-text>, d’<hide-text>agressions<hide-text>... Depuis quelque temps, j’ose enfin ouvrir ma bouche & qu’est-ce que ça fait du bien ! Bref, si je ne m’arrête pas de raconter ma vie, cet article ne va jamais en finir alors je te laisse à la lecture.

Certain.e.s font la réflexion que la <link-text>pride<link-text> ne sert plus à rien aujourd’hui, que ce soit celle de nuit ou celle de jour, parce qu’effectivement, vu de l'extérieur, on ne dirait pas que cet événement à un impact. On peut avoir l’impression que ce sont tout simplement des personnes qui font la fête & dont quelques-un.e.s s’embrassent dans la rue, avec différents drapeaux colorés. Mais en fait, tu n’imagines pas l’importance de cet événement, la <link-text>pride<link-text> permet encore aujourd’hui de réclamer nos droits, de nous donner de la visibilité, de voir que tu n’es pas seul.e, de se retrouver dans un endroit <link-text>safe<link-text>, de retrouver toutes sortes de personnes avec qui tu peux être <link-text>out<link-text>, parler tranquillement, te sentir libre & fort.e !

Alors non, nous n’arrêterons pas d’aller à la <link-text>pride<link-text> ! Non, nous n’arrêterons pas de manifester. Non, nous n’arrêterons pas de vouloir nous sentir accepté.e.s & en sécurité. Non, nous n’arrêterons pas de vouloir être libre & nous-même.

À Stonewall en 1969 il eu la première pride, qui était en vérité une émeute. Depuis tout ce temps, il y a des <link-text>prides<link-text> chaque année. Depuis 1 an, elles peuvent même être virtuelles grâce aux réseaux sociaux. Ce qui reste, ce qu’il ne faut pas oublier, c’est que les droits & les libertés que nous avons aujourd’hui (même si, on est d’accord, il n’y en a pas assez) sont là grâce aux travailleur.euse.s du sexe, aux personnes trans, aux personnes racisées, aux lesbiennes... Merci à vous !

<p-title>17 mai, journée internationale contre les lgbt+phobies.<p-title>

Cette journée a été créée pour attirer l’attention sur les discriminations & les violences vécues par les personnes lgbt+.

Si tu es hétérosexuel.le, c’est ok. Si tu es gay, c’est ok. Si tu es lesbienne, c'est ok. Si tu es bisexuel.le, c’est ok. Si tu es pansexuel.le, c’est ok. Si tu es asexuel.le, c’est ok. Si tu es aromantique, c’est ok. Les personnes ayant une autre sexualité qu’hétérosexuelle sont normales. Si tu es un homme ou une femme cisgenre, c’est ok. Si tu es un homme ou une femme trangenre, c’est ok. Si tu es une personne non-binaire, transgenre ou non, c’est ok.

N’attends pas d’être validé.e par les autres, toi seul.e connais ta sexualité & ton <link-text>d’identité de genre<link-text> (& on sait tous.x.tes que c’est parfois dur !)

J’aurais tellement de choses à te dire.. mais je veux que tu saches que tu n’es pas seul.e. N’hésite pas à demander de l’aide, que ce soit auprès de tes ami.e.s, de ta famille & d’associations (il y en a pleins qui existent & qui sont là pour ça). Aussi, le coming-out reste bien trop perçu comme un passage obligatoire, que nenni ! Il est à toi de faire le choix de le faire, ou non, & aux personnes que tu le souhaites, ainsi que le moment opportun.


Accepte-toi, aime-toi & sois toi-même, c’est important. L’amour, la sexualité & la lutte pour l’égalité sont des points qui ne disparaîtrons pas. Alors on va continuer à se battre, & on n'abandonnera pas, promis. Tu as tout mon amour & mon courage.

Cet article, je l’écris comme une lettre à toi, mais aussi à moi-même, mon ‘‘moi’’ de la maternelle. Parce que j’aurais aimé lire & savoir tout ce qui va suivre étant plus jeune. Tout cela m’aurait épargné le fait de me forcer à sortir constamment avec des garçons pendant des années parce que je suis assigné.e femme à la naissance, tout en sortant avec des filles en secret derrière qui je cachais ma <link-text>pansexualité<link-text>. Tout cela m’aurait peut-être épargné ces années de questionnement <link-text>d’identité de genre<link-text>, encore présentes aujourd’hui.



L,
Lesbienne, une femme éprouvant une attirance sexuelle envers une femme.

G, Gay, un homme éprouvant une attirance sexuelle envers un homme.

B, Bi, une personne ayant une attirance sexuelle envers deux, plusieurs ou tous les genres.

T, Trans, une personne dont l'identité de genre ne correspond pas au genre assigné à la naissance.
("Trans", c'est qu'on entend quand on parle de l'identité de quelqu'un, pas d'amalgame, ce n'est absolument pas une orientation sexuelle.)

Q, Queer. C'est un terme large qui englobe l'ensemble des personnes ayant une sexualité ou une identité de genre différentes de l'hétérosexualité ou de la cisidentité.

I, Intersexe. Ce terme ne désigne ni une orientation sexuelle ni une identité de genre. Il désigne les personnes qui sont anatomiquement né ni homme, ni femme. Le mannequin Hanne Gaby Odiele par exemple, qui a posé pour Chanel, Dior, Vuitton et j'en passe.. a révélée être intersexe. Elle était née "garçon" avec un chromosome X et un Y mais ressemblait à une fille. Son corps était résistant aux androgènes, des hormones qui stimulent le développement et le maintien des caractères mâles chez les vertébrés comme l'Homme.

A, Asexuel, une personne n'ayant pas d'attirance physique et|ou revendiquant ne pas ressentir le besoin de s'engager dans des relations sexuelles.

Q, Questioning, une personne qui se questionne sur sa sexualité.

P, Pansexuel, une personne pour qui l'identité de genre d'une personne n'a pas d'impact sur son attirance.



edito audacieux
7/11/2021
Faire passer la souris sur les mots cachés pour les lire

Donner la parole

Par Charlie

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Cet article, je l’écris comme une lettre à toi, mais aussi à moi-même, mon ‘‘moi’’ de la maternelle. Parce que j’aurais aimé lire & savoir tout ce qui va suivre étant plus jeune. Tout cela m’aurait épargné le fait de me forcer à sortir constamment avec des garçons pendant des années parce que je suis assigné.e femme à la naissance, tout en sortant avec des filles en secret derrière qui je cachais ma <link-text>pansexualité<link-text>. Tout cela m’aurait peut-être épargné ces années de questionnement <link-text>d’identité de genre<link-text>, encore présentes aujourd’hui.

Tout cela m’aurait évité de faire mon coming-out <link-text>pan<link-text>, m’évitera peut-être de faire mon coming-out <link-text>trans<link-text> ou non-binaire. Tant de questions, de <hide-text>haine de soi<hide-text>, d’<hide-text>idées suicidaires<hide-text>, de replis, de mensonges, de <hide-text>harcèlement<hide-text>, d’<hide-text>agressions<hide-text>... Depuis quelque temps, j’ose enfin l'ouvrir & qu’est-ce que ça fait du bien ! Bref, si je ne m’arrête pas de raconter ma vie, cet article ne va jamais en finir alors je te laisse à la lecture.

Tout cela m’aurait évité de faire mon coming-out <link-text>pan<link-text>, m’évitera peut-être de faire mon coming-out <link-text>trans<link-text> ou non-binaire. Tant de questions, de <hide-text>haine de soi<hide-text>, d’<hide-text>idées suicidaires<hide-text>, de replis, de mensonges, de <hide-text>harcèlement<hide-text>, d’<hide-text>agressions<hide-text>... Depuis quelque temps, j’ose enfin l'ouvrir & qu’est-ce que ça fait du bien ! Bref, si je ne m’arrête pas de raconter ma vie, cet article ne va jamais en finir alors je te laisse à la lecture.

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Tout cela m’aurait évité de faire mon coming-out <link-text>pan<link-text>, m’évitera peut-être de faire mon coming-out <link-text>trans<link-text> ou non-binaire. Tant de questions, de <hide-text>haine de soi<hide-text>, d’<hide-text>idées suicidaires<hide-text>, de replis, de mensonges, de <hide-text>harcèlement<hide-text>, d’<hide-text>agressions<hide-text>... Depuis quelque temps, j’ose enfin l'ouvrir & qu’est-ce que ça fait du bien ! Bref, si je ne m’arrête pas de raconter ma vie, cet article ne va jamais en finir alors je te laisse à la lecture.

Certain.e.s font la réflexion que la <link-text>pride<link-text> ne sert plus à rien aujourd’hui, que ce soit celle de nuit ou celle de jour, parce qu’effectivement, vu de l'extérieur, on ne dirait pas que cet événement à un impact. On peut avoir l’impression que ce sont tout simplement des personnes qui font la fête & dont quelques-un.e.s s’embrassent dans la rue, avec différents drapeaux colorés. Mais en fait, tu n’imagines pas l’importance de cet événement, la <link-text>pride<link-text> permet encore aujourd’hui de réclamer nos droits, de nous donner de la visibilité, de voir que tu n’es pas seul.e, de se retrouver dans un endroit <link-text>safe<link-text>, de retrouver toutes sortes de personnes avec qui tu peux être <link-text>out<link-text>, parler tranquillement, te sentir libre & fort.e !

Alors non, nous n’arrêterons pas d’aller à la <link-text>pride<link-text> ! Non, nous n’arrêterons pas de manifester. Non, nous n’arrêterons pas de vouloir nous sentir accepté.e.s & en sécurité. Non, nous n’arrêterons pas de vouloir être libre & nous-même.

À Stonewall en 1969 il eu la première pride, qui était en vérité une émeute. Depuis tout ce temps, il y a des <link-text>prides<link-text> chaque année. Depuis 1 an, elles peuvent même être virtuelles grâce aux réseaux sociaux. Ce qui reste, ce qu’il ne faut pas oublier, c’est que les droits & les libertés que nous avons aujourd’hui (même si, on est d’accord, il n’y en a pas assez) sont là grâce aux travailleur.euse.s du sexe, aux personnes trans, aux personnes racisées, aux lesbiennes... Merci à vous !

<p-title>17 mai, journée internationale contre les lgbt+phobies.<p-title>

Cette journée a été créée pour attirer l’attention sur les discriminations & les violences vécues par les personnes lgbt+.

Si tu es hétérosexuel.le, c’est ok. Si tu es gay, c’est ok. Si tu es lesbienne, c'est ok. Si tu es bisexuel.le, c’est ok. Si tu es pansexuel.le, c’est ok. Si tu es asexuel.le, c’est ok. Si tu es aromantique, c’est ok. Les personnes ayant une autre sexualité qu’hétérosexuelle sont normales. Si tu es un homme ou une femme cisgenre, c’est ok. Si tu es un homme ou une femme trangenre, c’est ok. Si tu es une personne non-binaire, transgenre ou non, c’est ok.

N’attends pas d’être validé.e par les autres, toi seul.e connais ta sexualité & ton <link-text>d’identité de genre<link-text> (& on sait tous.x.tes que c’est parfois dur !)

J’aurais tellement de choses à te dire.. mais je veux que tu saches que tu n’es pas seul.e. N’hésite pas à demander de l’aide, que ce soit auprès de tes ami.e.s, de ta famille & d’associations (il y en a pleins qui existent & qui sont là pour ça). Aussi, le coming-out reste bien trop perçu comme un passage obligatoire, que nenni ! Il est à toi de faire le choix de le faire, ou non, & aux personnes que tu le souhaites, ainsi que le moment opportun.


Accepte-toi, aime-toi & sois toi-même, c’est important. L’amour, la sexualité & la lutte pour l’égalité sont des points qui ne disparaîtrons pas. Alors on va continuer à se battre, & on n'abandonnera pas, promis. Tu as tout mon amour & mon courage.



Cet article, je l’écris comme une lettre à toi, mais aussi à moi-même, mon ‘‘moi’’ de la maternelle. Parce que j’aurais aimé lire & savoir tout ce qui va suivre étant plus jeune. Tout cela m’aurait épargné le fait de me forcer à sortir constamment avec des garçons pendant des années parce que je suis assigné.e femme à la naissance, tout en sortant avec des filles en secret derrière qui je cachais ma <link-text>pansexualité<link-text>. Tout cela m’aurait peut-être épargné ces années de questionnement <link-text>d’identité de genre<link-text>, encore présentes aujourd’hui.

Et en cette période d’incessants élans de faux espoirs, je vous propose de nous échapper, de me suivre et de découvrir avec moi les jeunes artistes d’aujourd’hui et de demain. Et parce qu’elle le disait si bien «il y a une différence entre expliquer ce que tu fais et le montrer», je vous invite surtout à découvrir le premier épisode d’Allusion, disponible dimanche 6 juin sur Spotify.

Alors oui, pour tous ceux qui suivent, ne serait-ce qu’un tout petit peu, l’actualité du studio, vous l’aurez compris, c’est avec celle qui m’a suivi pendant deux grosses semaines en Bretagne que j’amorce cette initiative : j’ai nommé ClemClem.

Et bien oui, c’est peut-être l’unique conseil qu’AUDACIEUX peut vous donner, après avoir ouvert les yeux, refermés les et ouvrez les oreilles.

Allusion le podcast disponible juste ici
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Accepte-toi, aime-toi & sois toi-même, tu en as le droit.

Tout cela m’aurait évité de faire mon coming-out <link-text>pan<link-text>, m’évitera peut-être de faire mon coming-out <link-text>trans<link-text> ou non-binaire. Tant de questions, de <hide-text>haine de soi<hide-text>, d’<hide-text>idées suicidaires<hide-text>, de replis, de mensonges, de <hide-text>harcèlement<hide-text>, d’<hide-text>agressions<hide-text>... Depuis quelque temps, j’ose enfin l'ouvrir & qu’est-ce que ça fait du bien ! Bref, si je ne m’arrête pas de raconter ma vie, cet article ne va jamais en finir alors je te laisse à la lecture.

Certain.e.s font la réflexion que la <link-text>pride<link-text> ne sert plus à rien aujourd’hui, que ce soit celle de nuit ou celle de jour, parce qu’effectivement, vu de l'extérieur, on ne dirait pas que cet événement à un impact. On peut avoir l’impression que ce sont tout simplement des personnes qui font la fête & dont quelques-un.e.s s’embrassent dans la rue, avec différents drapeaux colorés. Mais en fait, tu n’imagines pas l’importance de cet événement, la <link-text>pride<link-text> permet encore aujourd’hui de réclamer nos droits, de nous donner de la visibilité, de voir que tu n’es pas seul.e, de se retrouver dans un endroit <link-text>safe<link-text>, de retrouver toutes sortes de personnes avec qui tu peux être <link-text>out<link-text>, parler tranquillement, te sentir libre & fort.e !

Alors non, nous n’arrêterons pas d’aller à la <link-text>pride<link-text> ! Non, nous n’arrêterons pas de manifester. Non, nous n’arrêterons pas de vouloir nous sentir accepté.e.s & en sécurité. Non, nous n’arrêterons pas de vouloir être libre & nous-même.

À Stonewall en 1969 il eu la première pride, qui était en vérité une émeute. Depuis tout ce temps, il y a des <link-text>prides<link-text> chaque année. Depuis 1 an, elles peuvent même être virtuelles grâce aux réseaux sociaux. Ce qui reste, ce qu’il ne faut pas oublier, c’est que les droits & les libertés que nous avons aujourd’hui (même si, on est d’accord, il n’y en a pas assez) sont là grâce aux travailleur.euse.s du sexe, aux personnes trans, aux personnes racisées, aux lesbiennes... Merci à vous !

<p-title>17 mai, journée internationale contre les lgbt+phobies.<p-title>

Cette journée a été créée pour attirer l’attention sur les discriminations & les violences vécues par les personnes lgbt+.

Si tu es hétérosexuel.le, c’est ok. Si tu es gay, c’est ok. Si tu es lesbienne, c'est ok. Si tu es bisexuel.le, c’est ok. Si tu es pansexuel.le, c’est ok. Si tu es asexuel.le, c’est ok. Si tu es aromantique, c’est ok. Les personnes ayant une autre sexualité qu’hétérosexuelle sont normales. Si tu es un homme ou une femme cisgenre, c’est ok. Si tu es un homme ou une femme trangenre, c’est ok. Si tu es une personne non-binaire, transgenre ou non, c’est ok.

N’attends pas d’être validé.e par les autres, toi seul.e connais ta sexualité & ton <link-text>d’identité de genre<link-text> (& on sait tous.x.tes que c’est parfois dur !)

J’aurais tellement de choses à te dire.. mais je veux que tu saches que tu n’es pas seul.e. N’hésite pas à demander de l’aide, que ce soit auprès de tes ami.e.s, de ta famille & d’associations (il y en a pleins qui existent & qui sont là pour ça). Aussi, le coming-out reste bien trop perçu comme un passage obligatoire, que nenni ! Il est à toi de faire le choix de le faire, ou non, & aux personnes que tu le souhaites, ainsi que le moment opportun.


Accepte-toi, aime-toi & sois toi-même, c’est important. L’amour, la sexualité & la lutte pour l’égalité sont des points qui ne disparaîtrons pas. Alors on va continuer à se battre, & on n'abandonnera pas, promis. Tu as tout mon amour & mon courage.



Cet article, je l’écris comme une lettre à toi, mais aussi à moi-même, mon ‘‘moi’’ de la maternelle. Parce que j’aurais aimé lire & savoir tout ce qui va suivre étant plus jeune. Tout cela m’aurait épargné le fait de me forcer à sortir constamment avec des garçons pendant des années parce que je suis assigné.e femme à la naissance, tout en sortant avec des filles en secret derrière qui je cachais ma <link-text>pansexualité<link-text>. Tout cela m’aurait peut-être épargné ces années de questionnement <link-text>d’identité de genre<link-text>, encore présentes aujourd’hui.

Tout cela m’aurait évité de faire mon coming-out <link-text>pan<link-text>, m’évitera peut-être de faire mon coming-out <link-text>trans<link-text> ou non-binaire. Tant de questions, de <hide-text>haine de soi<hide-text>, d’<hide-text>idées suicidaires<hide-text>, de replis, de mensonges, de <hide-text>harcèlement<hide-text>, d’<hide-text>agressions<hide-text>... Depuis quelque temps, j’ose enfin l'ouvrir & qu’est-ce que ça fait du bien ! Bref, si je ne m’arrête pas de raconter ma vie, cet article ne va jamais en finir alors je te laisse à la lecture.

Certain.e.s font la réflexion que la <link-text>pride<link-text> ne sert plus à rien aujourd’hui, que ce soit celle de nuit ou celle de jour, parce qu’effectivement, vu de l'extérieur, on ne dirait pas que cet événement à un impact. On peut avoir l’impression que ce sont tout simplement des personnes qui font la fête & dont quelques-un.e.s s’embrassent dans la rue, avec différents drapeaux colorés. Mais en fait, tu n’imagines pas l’importance de cet événement, la <link-text>pride<link-text> permet encore aujourd’hui de réclamer nos droits, de nous donner de la visibilité, de voir que tu n’es pas seul.e, de se retrouver dans un endroit <link-text>safe<link-text>, de retrouver toutes sortes de personnes avec qui tu peux être <link-text>out<link-text>, parler tranquillement, te sentir libre & fort.e !

Alors non, nous n’arrêterons pas d’aller à la <link-text>pride<link-text> ! Non, nous n’arrêterons pas de manifester. Non, nous n’arrêterons pas de vouloir nous sentir accepté.e.s & en sécurité. Non, nous n’arrêterons pas de vouloir être libre & nous-même.

À Stonewall en 1969 il eu la première pride, qui était en vérité une émeute. Depuis tout ce temps, il y a des <link-text>prides<link-text> chaque année. Depuis 1 an, elles peuvent même être virtuelles grâce aux réseaux sociaux. Ce qui reste, ce qu’il ne faut pas oublier, c’est que les droits & les libertés que nous avons aujourd’hui (même si, on est d’accord, il n’y en a pas assez) sont là grâce aux travailleur.euse.s du sexe, aux personnes trans, aux personnes racisées, aux lesbiennes... Merci à vous !

<p-title>17 mai, journée internationale contre les lgbt+phobies.<p-title>

Cette journée a été créée pour attirer l’attention sur les discriminations & les violences vécues par les personnes lgbt+.

Si tu es hétérosexuel.le, c’est ok. Si tu es gay, c’est ok. Si tu es lesbienne, c'est ok. Si tu es bisexuel.le, c’est ok. Si tu es pansexuel.le, c’est ok. Si tu es asexuel.le, c’est ok. Si tu es aromantique, c’est ok. Les personnes ayant une autre sexualité qu’hétérosexuelle sont normales. Si tu es un homme ou une femme cisgenre, c’est ok. Si tu es un homme ou une femme trangenre, c’est ok. Si tu es une personne non-binaire, transgenre ou non, c’est ok.

N’attends pas d’être validé.e par les autres, toi seul.e connais ta sexualité & ton <link-text>d’identité de genre<link-text> (& on sait tous.x.tes que c’est parfois dur !)

J’aurais tellement de choses à te dire.. mais je veux que tu saches que tu n’es pas seul.e. N’hésite pas à demander de l’aide, que ce soit auprès de tes ami.e.s, de ta famille & d’associations (il y en a pleins qui existent & qui sont là pour ça). Aussi, le coming-out reste bien trop perçu comme un passage obligatoire, que nenni ! Il est à toi de faire le choix de le faire, ou non, & aux personnes que tu le souhaites, ainsi que le moment opportun.


Accepte-toi, aime-toi & sois toi-même, c’est important. L’amour, la sexualité & la lutte pour l’égalité sont des points qui ne disparaîtrons pas. Alors on va continuer à se battre, & on n'abandonnera pas, promis. Tu as tout mon amour & mon courage.



Certain.e.s font la réflexion que la <link-text>pride<link-text> ne sert plus à rien aujourd’hui, que ce soit celle de nuit ou celle de jour, parce qu’effectivement, vu de l'extérieur, on ne dirait pas que cet événement à un impact. On peut avoir l’impression que ce sont tout simplement des personnes qui font la fête & dont quelques-un.e.s s’embrassent dans la rue, avec différents drapeaux colorés. Mais en fait, tu n’imagines pas l’importance de cet événement, la <link-text>pride<link-text> permet encore aujourd’hui de réclamer nos droits, de nous donner de la visibilité, de voir que tu n’es pas seul.e, de se retrouver dans un endroit <link-text>safe<link-text>, de retrouver toutes sortes de personnes avec qui tu peux être <link-text>out<link-text>, parler tranquillement, te sentir libre & fort.e !

Alors non, nous n’arrêterons pas d’aller à la <link-text>pride<link-text> ! Non, nous n’arrêterons pas de manifester. Non, nous n’arrêterons pas de vouloir nous sentir accepté.e.s & en sécurité. Non, nous n’arrêterons pas de vouloir être libre & nous-même.

À Stonewall en 1969 il eu la première pride, qui était en vérité une émeute. Depuis tout ce temps, il y a des <link-text>prides<link-text> chaque année. Depuis 1 an, elles peuvent même être virtuelles grâce aux réseaux sociaux. Ce qui reste, ce qu’il ne faut pas oublier, c’est que les droits & les libertés que nous avons aujourd’hui (même si, on est d’accord, il n’y en a pas assez) sont là grâce aux travailleur.euse.s du sexe, aux personnes trans, aux personnes racisées, aux lesbiennes... Merci à vous !

<p-title>17 mai, journée internationale contre les lgbt+phobies.<p-title>

Cette journée a été créée pour attirer l’attention sur les discriminations & les violences vécues par les personnes lgbt+.

Si tu es hétérosexuel.le, c’est ok. Si tu es gay, c’est ok. Si tu es lesbienne, c'est ok. Si tu es bisexuel.le, c’est ok. Si tu es pansexuel.le, c’est ok. Si tu es asexuel.le, c’est ok. Si tu es aromantique, c’est ok. Les personnes ayant une autre sexualité qu’hétérosexuelle sont normales. Si tu es un homme ou une femme cisgenre, c’est ok. Si tu es un homme ou une femme trangenre, c’est ok. Si tu es une personne non-binaire, transgenre ou non, c’est ok.

N’attends pas d’être validé.e par les autres, toi seul.e connais ta sexualité & ton <link-text>d’identité de genre<link-text> (& on sait tous.x.tes que c’est parfois dur !)

J’aurais tellement de choses à te dire.. mais je veux que tu saches que tu n’es pas seul.e. N’hésite pas à demander de l’aide, que ce soit auprès de tes ami.e.s, de ta famille & d’associations (il y en a pleins qui existent & qui sont là pour ça). Aussi, le coming-out reste bien trop perçu comme un passage obligatoire, que nenni ! Il est à toi de faire le choix de le faire, ou non, & aux personnes que tu le souhaites, ainsi que le moment opportun.


Accepte-toi, aime-toi & sois toi-même, c’est important. L’amour, la sexualité & la lutte pour l’égalité sont des points qui ne disparaîtrons pas. Alors on va continuer à se battre, & on n'abandonnera pas, promis. Tu as tout mon amour & mon courage.



Accepte-toi, aime-toi & sois toi-même, tu en as le droit.

Accepte-toi, aime-toi & sois toi-même, tu en as le droit.

Accepte-toi, aime-toi & sois toi-même, tu en as le droit.

Accepte-toi, aime-toi & sois toi-même, tu en as le droit.

Crédit photo : <link-credit-white>l.utopiste<link-credit-white>

<tw-white>TW : idées suicidaires | agressions | harcélement<tw-white>

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Cet article, je l’écris comme une lettre à toi, mais aussi à moi-même, mon ‘‘moi’’ de la maternelle. Parce que j’aurais aimé lire & savoir tout ce qui va suivre étant plus jeune. Tout cela m’aurait épargné le fait de me forcer à sortir constamment avec des garçons pendant des années parce que je suis assigné.e femme à la naissance, tout en sortant avec des filles en secret derrière qui je cachais ma <link-text>pansexualité<link-text>. Tout cela m’aurait peut-être épargné ces années de questionnement <link-text>d’identité de genre<link-text>, encore présentes aujourd’hui.

Tout cela m’aurait évité de faire mon coming-out <link-text>pan<link-text>, m’évitera peut-être de faire mon coming-out <link-text>trans<link-text> ou non-binaire. Tant de questions, de <hide-text>haine de soi<hide-text>, d’<hide-text>idées suicidaires<hide-text>, de replis, de mensonges, de <hide-text>harcèlement<hide-text>, d’<hide-text>agressions<hide-text>... Depuis quelque temps, j’ose enfin l'ouvrir & qu’est-ce que ça fait du bien ! Bref, si je ne m’arrête pas de raconter ma vie, cet article ne va jamais en finir alors je te laisse à la lecture.

Certain.e.s font la réflexion que la <link-text>pride<link-text> ne sert plus à rien aujourd’hui, que ce soit celle de nuit ou celle de jour, parce qu’effectivement, vu de l'extérieur, on ne dirait pas que cet événement à un impact. On peut avoir l’impression que ce sont tout simplement des personnes qui font la fête & dont quelques-un.e.s s’embrassent dans la rue, avec différents drapeaux colorés. Mais en fait, tu n’imagines pas l’importance de cet événement, la <link-text>pride<link-text> permet encore aujourd’hui de réclamer nos droits, de nous donner de la visibilité, de voir que tu n’es pas seul.e, de se retrouver dans un endroit <link-text>safe<link-text>, de retrouver toutes sortes de personnes avec qui tu peux être <link-text>out<link-text>, parler tranquillement, te sentir libre & fort.e !

Alors non, nous n’arrêterons pas d’aller à la <link-text>pride<link-text> ! Non, nous n’arrêterons pas de manifester. Non, nous n’arrêterons pas de vouloir nous sentir accepté.e.s & en sécurité. Non, nous n’arrêterons pas de vouloir être libre & nous-même.

À Stonewall en 1969 il eu la première pride, qui était en vérité une émeute. Depuis tout ce temps, il y a des <link-text>prides<link-text> chaque année. Depuis 1 an, elles peuvent même être virtuelles grâce aux réseaux sociaux. Ce qui reste, ce qu’il ne faut pas oublier, c’est que les droits & les libertés que nous avons aujourd’hui (même si, on est d’accord, il n’y en a pas assez) sont là grâce aux travailleur.euse.s du sexe, aux personnes trans, aux personnes racisées, aux lesbiennes... Merci à vous !

<p-title>17 mai, journée internationale contre les lgbt+phobies.<p-title>

Cette journée a été créée pour attirer l’attention sur les discriminations & les violences vécues par les personnes lgbt+.

Si tu es hétérosexuel.le, c’est ok. Si tu es gay, c’est ok. Si tu es lesbienne, c'est ok. Si tu es bisexuel.le, c’est ok. Si tu es pansexuel.le, c’est ok. Si tu es asexuel.le, c’est ok. Si tu es aromantique, c’est ok. Les personnes ayant une autre sexualité qu’hétérosexuelle sont normales. Si tu es un homme ou une femme cisgenre, c’est ok. Si tu es un homme ou une femme trangenre, c’est ok. Si tu es une personne non-binaire, transgenre ou non, c’est ok.

N’attends pas d’être validé.e par les autres, toi seul.e connais ta sexualité & ton <link-text>d’identité de genre<link-text> (& on sait tous.x.tes que c’est parfois dur !)

J’aurais tellement de choses à te dire.. mais je veux que tu saches que tu n’es pas seul.e. N’hésite pas à demander de l’aide, que ce soit auprès de tes ami.e.s, de ta famille & d’associations (il y en a pleins qui existent & qui sont là pour ça). Aussi, le coming-out reste bien trop perçu comme un passage obligatoire, que nenni ! Il est à toi de faire le choix de le faire, ou non, & aux personnes que tu le souhaites, ainsi que le moment opportun.


Accepte-toi, aime-toi & sois toi-même, c’est important. L’amour, la sexualité & la lutte pour l’égalité sont des points qui ne disparaîtrons pas. Alors on va continuer à se battre, & on n'abandonnera pas, promis. Tu as tout mon amour & mon courage.



Certain.e.s font la réflexion que la <link-text>pride<link-text> ne sert plus à rien aujourd’hui, que ce soit celle de nuit ou celle de jour, parce qu’effectivement, vu de l'extérieur, on ne dirait pas que cet événement à un impact. On peut avoir l’impression que ce sont tout simplement des personnes qui font la fête & dont quelques-un.e.s s’embrassent dans la rue, avec différents drapeaux colorés. Mais en fait, tu n’imagines pas l’importance de cet événement, la <link-text>pride<link-text> permet encore aujourd’hui de réclamer nos droits, de nous donner de la visibilité, de voir que tu n’es pas seul.e, de se retrouver dans un endroit <link-text>safe<link-text>, de retrouver toutes sortes de personnes avec qui tu peux être <link-text>out<link-text>, parler tranquillement, te sentir libre & fort.e !

Alors non, nous n’arrêterons pas d’aller à la <link-text>pride<link-text> ! Non, nous n’arrêterons pas de manifester. Non, nous n’arrêterons pas de vouloir nous sentir accepté.e.s & en sécurité. Non, nous n’arrêterons pas de vouloir être libre & nous-même.

À Stonewall en 1969 il eu la première pride, qui était en vérité une émeute. Depuis tout ce temps, il y a des <link-text>prides<link-text> chaque année. Depuis 1 an, elles peuvent même être virtuelles grâce aux réseaux sociaux. Ce qui reste, ce qu’il ne faut pas oublier, c’est que les droits & les libertés que nous avons aujourd’hui (même si, on est d’accord, il n’y en a pas assez) sont là grâce aux travailleur.euse.s du sexe, aux personnes trans, aux personnes racisées, aux lesbiennes... Merci à vous !

<p-title>17 mai, journée internationale contre les lgbt+phobies.<p-title>

Cette journée a été créée pour attirer l’attention sur les discriminations & les violences vécues par les personnes lgbt+.

Si tu es hétérosexuel.le, c’est ok. Si tu es gay, c’est ok. Si tu es lesbienne, c'est ok. Si tu es bisexuel.le, c’est ok. Si tu es pansexuel.le, c’est ok. Si tu es asexuel.le, c’est ok. Si tu es aromantique, c’est ok. Les personnes ayant une autre sexualité qu’hétérosexuelle sont normales. Si tu es un homme ou une femme cisgenre, c’est ok. Si tu es un homme ou une femme trangenre, c’est ok. Si tu es une personne non-binaire, transgenre ou non, c’est ok.

N’attends pas d’être validé.e par les autres, toi seul.e connais ta sexualité & ton <link-text>d’identité de genre<link-text> (& on sait tous.x.tes que c’est parfois dur !)

J’aurais tellement de choses à te dire.. mais je veux que tu saches que tu n’es pas seul.e. N’hésite pas à demander de l’aide, que ce soit auprès de tes ami.e.s, de ta famille & d’associations (il y en a pleins qui existent & qui sont là pour ça). Aussi, le coming-out reste bien trop perçu comme un passage obligatoire, que nenni ! Il est à toi de faire le choix de le faire, ou non, & aux personnes que tu le souhaites, ainsi que le moment opportun.


Accepte-toi, aime-toi & sois toi-même, c’est important. L’amour, la sexualité & la lutte pour l’égalité sont des points qui ne disparaîtrons pas. Alors on va continuer à se battre, & on n'abandonnera pas, promis. Tu as tout mon amour & mon courage.



Accepte-toi, aime-toi & sois toi-même, tu en as le droit.

Accepte-toi, aime-toi & sois toi-même, tu en as le droit.

Accepte-toi, aime-toi & sois toi-même, tu en as le droit.

Accepte-toi, aime-toi & sois toi-même, tu en as le droit.

Crédit photo : <link-credit-white>l.utopiste<link-credit-white>

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Donner la parole
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Vous avez ressorti ce bon vieux lecteur CD qui date de 30 ans et que vous avez retrouvé en faisant du rangement parce que oui, vous avez fait du rangement. Et comme d’un esprit un peu trop nostalgique, vous vous laissez guider par le son des écouteurs. Ah... C’était la belle époque.
Vous regardez par la fenêtre pour capter une nuance de sociabilité mais en tournant ne serait-ce que légèrement la tête, vous faite sauter le disque. Alors ? Qui tiendra le plus longtemps ? Vous, ou ce bon vieux The Razors Edge d’AC/DC ?
Vous l’aurez compris, DÉSABUSÉ soutient la création et si je parle de Veillée, c’est parce que SUSPENSION reprend le même schéma : soutenir les jeunes artistes émergents. Et si toutefois vous aviez besoin de quelque chose d’encore un plus plus frais, de plus «désabusé», la RADIO est toujours disponible, elle aussi sur spotify.

Bref, si vous avez besoin de musique pour tenir bon en ce troisième incessant confinement ; parce qu’appelons un chat un chat : nous ne pouvons rien faire donc nous sommes bien « confinés » ;  et bien vous pouvez tout de même être sur d'une chose : vous trouverez forcement chaussure à votre pied, du moins en attendant de se voir en live...
Un rythme que la plupart des acteurs du domaine associatif ont du mal à suivre et c’est bien normal. Alors après le report de l’édition de 2020, la Fédération Musicale de Savoie réouvre ses portes à l’ensemble de ses adhérents pour l’édition de 2021. On se donne donc rendez-vous le samedi 26 juin pour parler design et communication associative.

Et quand le graphisme rime aujourd’hui avec pollution visuelle, que de réelles initiatives qui font du bien se noient aux cotés d’attrapes rêves bouffeurs d’argents et que certains acteurs importants de la vie culturelle succombent à la vie numérique bien trop abstraite pour eux, prendre la parole, éduquer, sensibiliser, ouvrir le regard, devient une réelle action sociale, d’une importance toute particulière pour chaque vrai designer.

Laisse

Cet article, je l’écris comme une lettre à toi, mais aussi à moi-même, mon ‘‘moi’’ de la maternelle. Parce que j’aurais aimé lire & savoir tout ce qui va suivre étant plus jeune. Tout cela m’aurait épargné le fait de me forcer à sortir constamment avec des garçons pendant des années parce que je suis assigné.e femme à la naissance, tout en sortant avec des filles en secret derrière qui je cachais ma <link-text>pansexualité<link-text>. Tout cela m’aurait peut-être épargné ces années de questionnement <link-text>d’identité de genre<link-text>, encore présentes aujourd’hui.

Donner la parole

Cet article, je l’écris comme une lettre à toi, mais aussi à moi-même, mon ‘‘moi’’ de la maternelle. Parce que j’aurais aimé lire & savoir tout ce qui va suivre étant plus jeune. Tout cela m’aurait épargné le fait de me forcer à sortir constamment avec des garçons pendant des années parce que je suis assigné.e femme à la naissance, tout en sortant avec des filles en secret derrière qui je cachais ma <link-text>pansexualité<link-text>. Tout cela m’aurait peut-être épargné ces années de questionnement <link-text>d’identité de genre<link-text>, encore présentes aujourd’hui.



L,
Lesbienne, une femme éprouvant une attirance sexuelle envers une femme.

G, Gay, un homme éprouvant une attirance sexuelle envers un homme.

B, Bi, une personne ayant une attirance sexuelle envers deux, plusieurs ou tous les genres.

T, Trans, une personne dont l'identité de genre ne correspond pas au genre assigné à la naissance.
("Trans", c'est qu'on entend quand on parle de l'identité de quelqu'un, pas d'amalgame, ce n'est absolument pas une orientation sexuelle.)

Q, Queer. C'est un terme large qui englobe l'ensemble des personnes ayant une sexualité ou une identité de genre différentes de l'hétérosexualité ou de la cisidentité.

I, Intersexe. Ce terme ne désigne ni une orientation sexuelle ni une identité de genre. Il désigne les personnes qui sont anatomiquement né ni homme, ni femme. Le mannequin Hanne Gaby Odiele par exemple, qui a posé pour Chanel, Dior, Vuitton et j'en passe.. a révélée être intersexe. Elle était née "garçon" avec un chromosome X et un Y mais ressemblait à une fille. Son corps était résistant aux androgènes, des hormones qui stimulent le développement et le maintien des caractères mâles chez les vertébrés comme l'Homme.

A, Asexuel, une personne n'ayant pas d'attirance physique et|ou revendiquant ne pas ressentir le besoin de s'engager dans des relations sexuelles.

Q, Questioning, une personne qui se questionne sur sa sexualité.

P, Pansexuel, une personne pour qui l'identité de genre d'une personne n'a pas d'impact sur son attirance.



LGBT+ : découvrir le monde qui nous entoureLGBT+ : découvrir le monde qui nous entoure
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Un article du magazine Audacieux

Cet article, je l’écris comme une lettre à toi, mais aussi à moi-même, mon ‘‘moi’’ de la maternelle. Parce que j’aurais aimé lire & savoir tout ce qui va suivre étant plus jeune. Tout cela m’aurait épargné le fait de me forcer à sortir constamment avec des garçons pendant des années parce que je suis assigné.e femme à la naissance, tout en sortant avec des filles en secret derrière qui je cachais ma <link-text>pansexualité<link-text>. Tout cela m’aurait peut-être épargné ces années de questionnement <link-text>d’identité de genre<link-text>, encore présentes aujourd’hui.

Tout cela m’aurait évité de faire mon coming-out <link-text>pan<link-text>, m’évitera peut-être de faire mon coming-out <link-text>trans<link-text> ou non-binaire. Tant de questions, de <hide-text>haine envers soi<hide-text>, d’<hide-text>idées suicidaires<hide-text>, de replis, de mensonges, de <hide-text>harcèlement<hide-text>, d’<hide-text>agressions<hide-text>... Depuis quelque temps, j’ose enfin ouvrir ma bouche & qu’est-ce que ça fait du bien ! Bref, si je ne m’arrête pas de raconter ma vie, cet article ne va jamais en finir alors je te laisse à la lecture.

Certain.e.s font la réflexion que la <link-text>pride<link-text> ne sert plus à rien aujourd’hui, que ce soit celle de nuit ou celle de jour, parce qu’effectivement, vu de l'extérieur, on ne dirait pas que cet événement à un impact. On peut avoir l’impression que ce sont tout simplement des personnes qui font la fête & dont quelques-un.e.s s’embrassent dans la rue, avec différents drapeaux colorés. Mais en fait, tu n’imagines pas l’importance de cet événement, la <link-text>pride<link-text> permet encore aujourd’hui de réclamer nos droits, de nous donner de la visibilité, de voir que tu n’es pas seul.e, de se retrouver dans un endroit <link-text>safe<link-text>, de retrouver toutes sortes de personnes avec qui tu peux être <link-text>out<link-text>, parler tranquillement, te sentir libre & fort.e !

Alors non, nous n’arrêterons pas d’aller à la <link-text>pride<link-text> ! Non, nous n’arrêterons pas de manifester. Non, nous n’arrêterons pas de vouloir nous sentir accepté.e.s & en sécurité. Non, nous n’arrêterons pas de vouloir être libre & nous-même.

À Stonewall en 1969 il eu la première pride, qui était en vérité une émeute. Depuis tout ce temps, il y a des <link-text>prides<link-text> chaque année. Depuis 1 an, elles peuvent même être virtuelles grâce aux réseaux sociaux. Ce qui reste, ce qu’il ne faut pas oublier, c’est que les droits & les libertés que nous avons aujourd’hui (même si, on est d’accord, il n’y en a pas assez) sont là grâce aux travailleur.euse.s du sexe, aux personnes trans, aux personnes racisées, aux lesbiennes... Merci à vous !

<p-title>17 mai, journée internationale contre les lgbt+phobies.<p-title>

Cette journée a été créée pour attirer l’attention sur les discriminations & les violences vécues par les personnes lgbt+.

Si tu es hétérosexuel.le, c’est ok. Si tu es gay, c’est ok. Si tu es lesbienne, c'est ok. Si tu es bisexuel.le, c’est ok. Si tu es pansexuel.le, c’est ok. Si tu es asexuel.le, c’est ok. Si tu es aromantique, c’est ok. Les personnes ayant une autre sexualité qu’hétérosexuelle sont normales. Si tu es un homme ou une femme cisgenre, c’est ok. Si tu es un homme ou une femme trangenre, c’est ok. Si tu es une personne non-binaire, transgenre ou non, c’est ok.

N’attends pas d’être validé.e par les autres, toi seul.e connais ta sexualité & ton <link-text>d’identité de genre<link-text> (& on sait tous.x.tes que c’est parfois dur !)

J’aurais tellement de choses à te dire.. mais je veux que tu saches que tu n’es pas seul.e. N’hésite pas à demander de l’aide, que ce soit auprès de tes ami.e.s, de ta famille & d’associations (il y en a pleins qui existent & qui sont là pour ça). Aussi, le coming-out reste bien trop perçu comme un passage obligatoire, que nenni ! Il est à toi de faire le choix de le faire, ou non, & aux personnes que tu le souhaites, ainsi que le moment opportun.


Accepte-toi, aime-toi & sois toi-même, c’est important. L’amour, la sexualité & la lutte pour l’égalité sont des points qui ne disparaîtrons pas. Alors on va continuer à se battre, & on n'abandonnera pas, promis. Tu as tout mon amour & mon courage.

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LES DROITS DES PERSONNES LGBT EN FRANCE :

Aujourd'hui c'est l'occasion, en abordant les droits des personnes LGBT, de faire la rétrospective d'une révolution sexuelle qui dure, évolue et s'affirme depuis des siècles. Un peu d'histoire donc, ça ne fait pas de mal, surtout lorsqu'on peut se remémorer celle, ceux et celles qui se sont battus pour que les pensées évoluent.

1791

La Révolution française décriminalise les relations homosexuelles.

1945

Distinction entre les sexualités & l’âge pour les rapports sexuels. 21 ans pour les rapports homosexuels & 13 ans pour les rapports hétérosexuels.

1965

Doublage de la peine minimum pour outrage public à la pudeur lorsqu’il s’agissait de rapports homosexuels.

1974

L’âge de majorité sexuelle pour les rapports homosexuels est abaissé à 18 ans, puisque la loi change l’âge de majorité.

1978

La loi va passer de la répression de l’homosexualité à celle de l’homophobie.

1980

Supression du doublage de peine établit en 1960.

1982

Législation discriminatoire concernant l’âge de consentement est abolie.

1983

Discrimination dans la possibilité de donner son sang pour les personnes homosexuelles, suite à l’épidémie du sida.

1985

Protection contre les discriminations en raison de l’orientation sexuelle.

1999

Les couples de même sexe sont reconnus par le concubinage, & adoption possible mais qu’en tant que célibataire.

2004

L’homophobie fait partit des motifs de discriminations, & peine établie lors de propos publics incitant à la haine, diffamatoire ou injurieux en raison de l’orientation sexuelle.

2005

Peine pour la diffamation, l’injure & la provocation à la haine non publiques

2010

La transidentité n’est plus considérée comme une maladie mentale.

2013

Le mariage des couples de même sexe, & adoption possible par les couples homosexuels mariés, ainsi que l’adoption de l’enfant du conjoint au sein d’un couple marié.

2015

Interdiction de toute discrimination pour le don du sang en raison de son orientation sexuelle.

2016

Les HSH (homme ayant des rapports sexuels avec un ou d'autres hommes) ayant été abstinents pendant 1 an peuvent alors donner leur sang, cet arrêté prend effet à partir du 10 juillet de la même année. De plus, les personnes dans une relation stable depuis 4 mois ou qui ont été abstinents pendant 4 mois, peuvent donner leur plasma sanguin pour des études.

2016

Reconnaissance de l’identité de genre comme l’un des critères de discrimination.

2016

Changement d’état civil pour les personnes trans établit (gratuitement & en mairie pour le prénom, mais la décision d’un tribunal pour le genre est toujours d’actualité), & sans l’obligation d’intervention chirurgicale.

2017

Reconnaissance de la transphobie comme une circonstance aggravante applicable à l’ensemble des crimes ou des délits punis d’une peine d’emprisonnement.

2019

Autorisation d’insémination artificielle avec donneur aux femmes cis, & non aux personnes trans.

2020

L’arrêté de 2019 est abaissé de 12 à 4 mois, pour la durée d’abstinence permettant aux HSH de donner leur sang.

2021

Depuis août 2021, les couples de femmes ont accès à la procréation médicalement assistée (PMA), au même titre que les femmes seules et les femmes en couple avec un homme.

2021

L'UE déclarée zone de liberté LGBTIQ. Une résolution qui reconnaît l’ensemble du territoire européen comme "zone de liberté LGBTIQ"(nouvelle fenêtre) et rappelle que les autorités nationales dans l’ensemble de l’Union, devraient protéger et promouvoir l’égalité et les droits fondamentaux pour tous, y compris pour les personnes LGBTIQ.

2020_2013

Le "Plan national d’actions pour l’égalité, contre la haine et les discriminations anti-LGBT+" continu. Cette action liste 42 mesures concernant tous les domaines de la vie quotidienne : la sphère familiale, l’école, l’université, le travail, le sport, la santé, etc. Entre autres :
  • L’ouverture de la procréation médicalement assistée (PMA) aux couples de femmes et aux femmes célibataires    La facilitation de l’utilisation du prénom d’usage pour les personnes trans dans les documents administratifs non officiels pour les agents de la fonction publique comme pour les usagers  
  • L’élaboration d’un guide sur l’accueil des élèves et des étudiants trans à destination de l’ensemble du personnel de l’Éducation nationale et de l’Enseignement supérieur    
  • La lutte contre les thérapies dites « de conversion »    La poursuite de l’adaptation des formulaires administratifs afin d’inclure les familles homoparentales    
  • Le développement de la formation continue des référents LGBT+ au sein des commissariats de police et des brigades de gendarmerie

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