ÉDITO : Le sens du beau
9/10/2023

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Par Clément Rigaud
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Le sens du beau

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Si il y a bien une chose qu'on n'a cessé de me répéter c'est qu'on n'arrivait jamais à suivre l'actualité de DÉSABUSÉ. Désormais vous n'avez plus d'excuses, tout est dans Audacieux ! Ou alors c'est peut être moi qui cherche des excuses pour me faire moi-même de la promo... Qui a dit que c'était interdit ?  C'est mon magasine alors je fait ce que je veux... love u

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Audacieux, le magazine par Désabusé Paris

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Si il y a bien une chose qu'on n'a cessé de me répéter c'est qu'on n'arrivait jamais à suivre l'actualité de DÉSABUSÉ. Désormais vous n'avez plus d'excuses, tout est dans Audacieux ! Ou alors c'est peut être moi qui cherche des excuses pour me faire moi-même de la promo... Qui a dit que c'était interdit ?  C'est mon magasine alors je fait ce que je veux... love u

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14/10/2023
Par Clément Rigaud

Il existe pour sûr cette polysémie infinie propre à la pratique, car le design est une science complexe, enveloppante et enivrante. S’il paraît parfois flou et abstrait, c’est davantage encore parce que tout designer modèle sa propre définition au regard de la fragilité des résultantes sociales et sociétales de ses intentions. Dans cet entrain contemporain à se saisir des enjeux du monde, la notion d’un beau subjectif semble terriblement réductrice. Lorsque <link-text>Pierre DEBEAUX<link-text> confronte les mots de Vitruve à ses aspirations modernistes, la forme classique est naturellement contraignante, réductrice, tant elle codifiée, «inhumaine pour ainsi dire».

Mais le beau oscille entre les deux faces d’un mur friable : la raison, l’usage, la fonction d’une part, l’affecte, le plaisir, le Sensible, d’autre part. 

C’est cette dualité qui rythme les arts depuis longtemps semble-t-il : baroque - classicisme ; rococo - néoclassicisme ; romantisme - réalisme ;

Il existe pour sûr cette polysémie infinie propre à la pratique, car le design est une science complexe, enveloppante et enivrante. S’il paraît parfois flou et abstrait, c’est davantage encore parce que tout designer modèle sa propre définition au regard de la fragilité des résultantes sociales et sociétales de ses intentions. Dans cet entrain contemporain à se saisir des enjeux du monde, la notion d’un beau subjectif semble terriblement réductrice. Lorsque <link-text>Pierre DEBEAUX<link-text> confronte les mots de Vitruve à ses aspirations modernistes, la forme classique est naturellement contraignante, réductrice, tant elle codifiée, «inhumaine pour ainsi dire». Mais le beau oscille entre les deux faces d’un mur friable : la raison, l’usage, la fonction d’une part, l’affecte, le plaisir, le Sensible, d’autre part. C’est cette dualité qui rythme les arts depuis longtemps semble-t-il : baroque - classicisme ; rococo - néoclassicisme ; romantisme - réalisme ; académisme - fauvisme, etc. De cette dualité-ci, se dessine un entre-deux, pour reprendre Gregory Bateson, « l’existence d’un paysage entre l’intention et sa réception ». Tantôt l’intention est d’une beauté saisissante tant elle est source de réflexion, de remise en cause, tant elle est sensible et intelligente, tantôt et parfois même paradoxalement, l’impromptu fascine, le dégoût stimule, l’incompréhension ou le dissonant bouleverse…

<little-quote-style>Le beau se sculpte chez l’autre, dans sa singularité et sa sensibilité.<little-quote-style>

Il y a parfois une même dualité dans les arts. L’expérimental, le plastique, l’art contemporain - j’ose le dire - semble bien éloigné d’une forme d’application concrète comme le design. Tous de fois, et nous l’esquissons depuis près d’un an désormais, quelques propositions artistiques d’apparence subversives paraissent parfois bien plus raisonnées qu’un objet faussement design qui factuellement n’en est pas. Alors comment ouvrir le regard, être source de proposition, de singularité et sensibiliser ? Comment remettre en question les codes et les langages ? Ce son peut être les silhouettes de <link-text>Matthew M. Williams pour Givenchy<link-text>, entre héritage et renouveau. Peut-être aurions pu nous saisir aussi de l’abstraction de <link-text>L’Autre/ L’Artiste ?<link-text> à la manière d’une peinture avant-garde. Certes, généraliser l’anticonformisme de ces peintres à une simple réaction face à la photographie naissante serait terriblement limitant. Il semble pour autant y avoir un parallèle somme toute amusant entre fatalité, déjà-vu, et temporalité déroutante. 

Si ce n’est une forme d’esthétique, le beau se sculpte chez l’autre, dans sa singularité et sa sensibilité. Ainsi pourrions-nous voir une forme d’application et d’intérêt dans les lignes de ce magazine ? Les derniers mots de l’édito disaient : « réapprenons à nous échapper pour de vrai ». 'Monde Sensible et Identité’ esquisse, pour sûr, depuis juin, une forme de rétrospective tandis que <link-text>L'Autre/ L’Artiste?<link-text> s’ouvre au corps et à la différence. Dans l’héritage de Désabusé qui tend à se rapprocher des fantasmes de ses débuts ; et dans ces dynamiques artistiques et collectives qui viennent enrichir la pratique, tout s’attarde à ressembler à ces choses qui nous paraissent audacieuses. C’était l’envie de raconter les arts, d’ouvrir le regard, de s’ouvrir aux autres et de partager l’actualité culturelle. Le beau semble se détacher aussi dans la simplicité, dans la différence, dans la richesse du pouvoir créatif. Voilà peut-être un semblant de réponse : le beau n’est ni une dualité, ni un conflit, un rapport ou quelque opposition, il est l'union, un tout harmonisé de toutes les manières possibles. En 2015, Benjamin Loyauté écrivait à ce sujet dans l’ouvrage de la Biennale Internationale de Saint-Étienne, il disait ceci : « Tout le monde a un avis sur le beau. Il faut arrêter d’avoir peur de s’y confronter, car cet avis-ci se stabilise en fonction de critère de temps, d’espace, d’éducation, de contact, de société. C’est dire à quel point il est mobile. »

Il existe pour sûr cette polysémie infinie propre à la pratique, car le design est une science complexe, enveloppante et enivrante. S’il paraît parfois flou et abstrait, c’est davantage encore parce que tout designer modèle sa propre définition au regard de la fragilité des résultantes sociales et sociétales de ses intentions. Dans cet entrain contemporain à se saisir des enjeux du monde, la notion d’un beau subjectif semble terriblement réductrice. Lorsque <link-text>Pierre DEBEAUX<link-text> confronte les mots de Vitruve à ses aspirations modernistes, la forme classique est naturellement contraignante, réductrice, tant elle codifiée, «inhumaine pour ainsi dire».



L,
Lesbienne, une femme éprouvant une attirance sexuelle envers une femme.

G, Gay, un homme éprouvant une attirance sexuelle envers un homme.

B, Bi, une personne ayant une attirance sexuelle envers deux, plusieurs ou tous les genres.

T, Trans, une personne dont l'identité de genre ne correspond pas au genre assigné à la naissance.
("Trans", c'est qu'on entend quand on parle de l'identité de quelqu'un, pas d'amalgame, ce n'est absolument pas une orientation sexuelle.)

Q, Queer. C'est un terme large qui englobe l'ensemble des personnes ayant une sexualité ou une identité de genre différentes de l'hétérosexualité ou de la cisidentité.

I, Intersexe. Ce terme ne désigne ni une orientation sexuelle ni une identité de genre. Il désigne les personnes qui sont anatomiquement né ni homme, ni femme. Le mannequin Hanne Gaby Odiele par exemple, qui a posé pour Chanel, Dior, Vuitton et j'en passe.. a révélée être intersexe. Elle était née "garçon" avec un chromosome X et un Y mais ressemblait à une fille. Son corps était résistant aux androgènes, des hormones qui stimulent le développement et le maintien des caractères mâles chez les vertébrés comme l'Homme.

A, Asexuel, une personne n'ayant pas d'attirance physique et|ou revendiquant ne pas ressentir le besoin de s'engager dans des relations sexuelles.

Q, Questioning, une personne qui se questionne sur sa sexualité.

P, Pansexuel, une personne pour qui l'identité de genre d'une personne n'a pas d'impact sur son attirance.



edito audacieux
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Il existe pour sûr cette polysémie infinie propre à la pratique, car le design est une science complexe, enveloppante et enivrante. S’il paraît parfois flou et abstrait, c’est davantage encore parce que tout designer modèle sa propre définition au regard de la fragilité des résultantes sociales et sociétales de ses intentions. Dans cet entrain contemporain à se saisir des enjeux du monde, la notion d’un beau subjectif semble terriblement réductrice. Lorsque <link-text>Pierre DEBEAUX<link-text> confronte les mots de Vitruve à ses aspirations modernistes, la forme classique est naturellement contraignante, réductrice, tant elle codifiée, «inhumaine pour ainsi dire».

Mais le beau oscille entre les deux faces d’un mur friable : la raison, l’usage, la fonction d’une part, l’affecte, le plaisir, le Sensible, d’autre part. 

Mais le beau oscille entre les deux faces d’un mur friable : la raison, l’usage, la fonction d’une part, l’affecte, le plaisir, le Sensible, d’autre part. 

ÉDITO : Le sens du beau

Mais le beau oscille entre les deux faces d’un mur friable : la raison, l’usage, la fonction d’une part, l’affecte, le plaisir, le Sensible, d’autre part. 

C’est cette dualité qui rythme les arts depuis longtemps semble-t-il : baroque - classicisme ; rococo - néoclassicisme ; romantisme - réalisme ;

Il existe pour sûr cette polysémie infinie propre à la pratique, car le design est une science complexe, enveloppante et enivrante. S’il paraît parfois flou et abstrait, c’est davantage encore parce que tout designer modèle sa propre définition au regard de la fragilité des résultantes sociales et sociétales de ses intentions. Dans cet entrain contemporain à se saisir des enjeux du monde, la notion d’un beau subjectif semble terriblement réductrice. Lorsque <link-text>Pierre DEBEAUX<link-text> confronte les mots de Vitruve à ses aspirations modernistes, la forme classique est naturellement contraignante, réductrice, tant elle codifiée, «inhumaine pour ainsi dire».

Et en cette période d’incessants élans de faux espoirs, je vous propose de nous échapper, de me suivre et de découvrir avec moi les jeunes artistes d’aujourd’hui et de demain. Et parce qu’elle le disait si bien «il y a une différence entre expliquer ce que tu fais et le montrer», je vous invite surtout à découvrir le premier épisode d’Allusion, disponible dimanche 6 juin sur Spotify.

Alors oui, pour tous ceux qui suivent, ne serait-ce qu’un tout petit peu, l’actualité du studio, vous l’aurez compris, c’est avec celle qui m’a suivi pendant deux grosses semaines en Bretagne que j’amorce cette initiative : j’ai nommé ClemClem.

Et bien oui, c’est peut-être l’unique conseil qu’AUDACIEUX peut vous donner, après avoir ouvert les yeux, refermés les et ouvrez les oreilles.

Allusion le podcast disponible juste ici
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Le beau se sculpte chez l’autre, dans sa singularité et sa sensibilité.

Mais le beau oscille entre les deux faces d’un mur friable : la raison, l’usage, la fonction d’une part, l’affecte, le plaisir, le Sensible, d’autre part. 

C’est cette dualité qui rythme les arts depuis longtemps semble-t-il : baroque - classicisme ; rococo - néoclassicisme ; romantisme - réalisme ;

Il existe pour sûr cette polysémie infinie propre à la pratique, car le design est une science complexe, enveloppante et enivrante. S’il paraît parfois flou et abstrait, c’est davantage encore parce que tout designer modèle sa propre définition au regard de la fragilité des résultantes sociales et sociétales de ses intentions. Dans cet entrain contemporain à se saisir des enjeux du monde, la notion d’un beau subjectif semble terriblement réductrice. Lorsque <link-text>Pierre DEBEAUX<link-text> confronte les mots de Vitruve à ses aspirations modernistes, la forme classique est naturellement contraignante, réductrice, tant elle codifiée, «inhumaine pour ainsi dire».

Mais le beau oscille entre les deux faces d’un mur friable : la raison, l’usage, la fonction d’une part, l’affecte, le plaisir, le Sensible, d’autre part. 

C’est cette dualité qui rythme les arts depuis longtemps semble-t-il : baroque - classicisme ; rococo - néoclassicisme ; romantisme - réalisme ;

<link-text>L’Artiste?<link-text> s’ouvre au corps et à la différence. Dans l’héritage de Désabusé qui tend à se rapprocher des fantasmes de ses débuts ; et dans ces dynamiques artistiques et collectives qui viennent enrichir la pratique, tout s’attarde à ressembler à ces choses qui nous paraissent audacieuses. C’était l’envie de raconter les arts, d’ouvrir le regard, de s’ouvrir aux autres et de partager l’actualité culturelle. Le beau semble se détacher aussi dans la simplicité, dans la différence, dans la richesse du pouvoir créatif. Voilà peut-être un semblant de réponse : le beau n’est ni une dualité, ni un conflit, un rapport ou quelque opposition, il est l'union, un tout harmonisé de toutes les manières possibles. En 2015, Benjamin Loyauté écrivait à ce sujet dans l’ouvrage de la Biennale Internationale de Saint-Étienne, il disait ceci : « Tout le monde a un avis sur le beau. Il faut arrêter d’avoir peur de s’y confronter, car cet avis-ci se stabilise en fonction de critère de temps, d’espace, d’éducation, de contact, de société. C’est dire à quel point il est mobile. »

C’est cette dualité qui rythme les arts depuis longtemps semble-t-il : baroque - classicisme ; rococo - néoclassicisme ; romantisme - réalisme ;

<link-text>L’Artiste?<link-text> s’ouvre au corps et à la différence. Dans l’héritage de Désabusé qui tend à se rapprocher des fantasmes de ses débuts ; et dans ces dynamiques artistiques et collectives qui viennent enrichir la pratique, tout s’attarde à ressembler à ces choses qui nous paraissent audacieuses. C’était l’envie de raconter les arts, d’ouvrir le regard, de s’ouvrir aux autres et de partager l’actualité culturelle. Le beau semble se détacher aussi dans la simplicité, dans la différence, dans la richesse du pouvoir créatif. Voilà peut-être un semblant de réponse : le beau n’est ni une dualité, ni un conflit, un rapport ou quelque opposition, il est l'union, un tout harmonisé de toutes les manières possibles. En 2015, Benjamin Loyauté écrivait à ce sujet dans l’ouvrage de la Biennale Internationale de Saint-Étienne, il disait ceci : « Tout le monde a un avis sur le beau. Il faut arrêter d’avoir peur de s’y confronter, car cet avis-ci se stabilise en fonction de critère de temps, d’espace, d’éducation, de contact, de société. C’est dire à quel point il est mobile. »

académisme - fauvisme, etc. De cette dualité-ci, se dessine un entre-deux, pour reprendre Gregory Bateson, « l’existence d’un paysage entre l’intention et sa réception ». Tantôt l’intention est d’une beauté saisissante tant elle est source de réflexion, de remise en cause, tant elle est sensible et intelligente, tantôt et parfois même paradoxalement, l’impromptu fascine, le dégoût stimule, l’incompréhension ou le dissonant bouleverse…

Il y a parfois une même dualité dans les arts. L’expérimental, le plastique, l’art contemporain - j’ose le dire - semble bien éloigné d’une forme d’application concrète comme le design. Tous de fois, et nous l’esquissons depuis près d’un an désormais, quelques propositions artistiques d’apparence subversives paraissent parfois bien plus raisonnées qu’un objet faussement design qui factuellement n’en est pas.

Alors comment ouvrir le regard, être source de proposition, de singularité et sensibiliser ? Comment remettre en question les codes et les langages ? Ce son peut être les silhouettes de <link-text>Matthew M. Williams pour Givenchy<link-text>, entre héritage et renouveau. Peut-être aurions pu nous saisir aussi de l’abstraction de <link-text>L’Autre/ L’Artiste ?<link-text> à la manière d’une peinture avant-garde. Certes, généraliser l’anticonformisme de ces peintres à une simple réaction face à la photographie naissante serait terriblement limitant. Il semble pour autant y avoir un parallèle somme toute amusant entre fatalité, déjà-vu, et temporalité déroutante. 

Le beau se sculpte chez l’autre, dans sa singularité et sa sensibilité.

Le beau se sculpte chez l’autre, dans sa singularité et sa sensibilité.

Le beau se sculpte chez l’autre, dans sa singularité et sa sensibilité.

Le beau se sculpte chez l’autre, dans sa singularité et sa sensibilité.

Le beau se sculpte chez l’autre, dans sa singularité et sa sensibilité.

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Si ce n’est une forme d’esthétique, le beau se sculpte chez l’autre, dans sa singularité et sa sensibilité. Ainsi pourrions-nous voir une forme d’application et d’intérêt dans les lignes de ce magazine ? Les derniers mots de l’édito disaient : « réapprenons à nous échapper pour de vrai ». 'Monde Sensible et Identité’ esquisse, pour sûr, depuis juin, une forme de rétrospective tandis que <link-text>L’Autre/ L’Artiste?<link-text> s’ouvre

Si ce n’est une forme d’esthétique, le beau se sculpte chez l’autre, dans sa singularité et sa sensibilité. Ainsi pourrions-nous voir une forme d’application et d’intérêt dans les lignes de ce magazine ? Les derniers mots de l’édito disaient : « réapprenons à nous échapper pour de vrai ». 'Monde Sensible et Identité’ esquisse, pour sûr, depuis juin, une forme de rétrospective tandis que <link-text>L’Autre/ L’Artiste?<link-text> s’ouvre

Si ce n’est une forme d’esthétique, le beau se sculpte chez l’autre, dans sa singularité et sa sensibilité. Ainsi pourrions-nous voir une forme d’application et d’intérêt dans les lignes de ce magazine ? Les derniers mots de l’édito disaient : « réapprenons à nous échapper pour de vrai ». 'Monde Sensible et Identité’ esquisse, pour sûr, depuis juin, une forme de rétrospective tandis que <link-text>L’Autre/ L’Artiste?<link-text> s’ouvre

Si ce n’est une forme d’esthétique, le beau se sculpte chez l’autre, dans sa singularité et sa sensibilité. Ainsi pourrions-nous voir une forme d’application et d’intérêt dans les lignes de ce magazine ? Les derniers mots de l’édito disaient : « réapprenons à nous échapper pour de vrai ». 'Monde Sensible et Identité’ esquisse, pour sûr, depuis juin, une forme de rétrospective tandis que <link-text>L'Autre/<link-text>

Si ce n’est une forme d’esthétique, le beau se sculpte chez l’autre, dans sa singularité et sa sensibilité. Ainsi pourrions-nous voir une forme d’application et d’intérêt dans les lignes de ce magazine ? Les derniers mots de l’édito disaient : « réapprenons à nous échapper pour de vrai ». 'Monde Sensible et Identité’ esquisse, pour sûr, depuis juin, une forme de rétrospective tandis que <link-text>L'Autre/<link-text>

Alors comment ouvrir le regard, être source de proposition, de singularité et sensibiliser ? Comment remettre en question les codes et les langages ? Ce son peut être les silhouettes de <link-text>Matthew M. Williams pour Givenchy<link-text>, entre héritage et renouveau. Peut-être aurions pu nous saisir aussi de l’abstraction de <link-text>L’Autre/ L’Artiste ?<link-text> à la manière d’une peinture avant-garde. Certes, généraliser l’anticonformisme de ces peintres à une simple réaction face à la photographie naissante serait terriblement limitant. Il semble pour autant y avoir un parallèle somme toute amusant entre fatalité, déjà-vu, et temporalité déroutante. 

académisme - fauvisme, etc. De cette dualité-ci, se dessine un entre-deux, pour reprendre Gregory Bateson, « l’existence d’un paysage entre l’intention et sa réception ». Tantôt l’intention est d’une beauté saisissante tant elle est source de réflexion, de remise en cause, tant elle est sensible et intelligente, tantôt et parfois même paradoxalement, l’impromptu fascine, le dégoût stimule, l’incompréhension ou le dissonant bouleverse…

Il y a parfois une même dualité dans les arts. L’expérimental, le plastique, l’art contemporain - j’ose le dire - semble bien éloigné d’une forme d’application concrète comme le design. Tous de fois, et nous l’esquissons depuis près d’un an désormais, quelques propositions artistiques d’apparence subversives paraissent parfois bien plus raisonnées qu’un objet faussement design qui factuellement n’en est pas.

au corps et à la différence. Dans l’héritage de Désabusé qui tend à se rapprocher des fantasmes de ses débuts ; et dans ces dynamiques artistiques et collectives qui viennent enrichir la pratique, à se rapprocher des fantasmes de ses débuts ; et dans ces dynamiques artistiques et collectives qui viennent enrichir la pratique, tout s’attarde à ressembler à ces choses qui nous paraissent audacieuses. C’était l’envie de raconter les arts, d’ouvrir le regard, de s’ouvrir aux autres et de partager l’actualité culturelle. Le beau semble se détacher aussi dans la simplicité, dans la différence, dans la richesse du pouvoir créatif. Voilà peut-être un semblant de réponse : le beau n’est ni une dualité, ni un conflit, un rapport ou quelque opposition, il est l'union, un tout harmonisé de toutes les manières possibles. En 2015, Benjamin Loyauté écrivait à son sujet dans l’ouvrage de la Biennale Internationale de Saint-Étienne, il disait ceci : « Tout le monde a un avis sur le beau. Il faut arrêter d’avoir peur de s’y confronter, car cet avis-ci se stabilise en fonction de critère de temps, d’espace, d’éducation, de contact, de société. C’est dire à quel point il est mobile. »

<link-text>L’Artiste?<link-text> s’ouvre au corps et à la différence. Dans l’héritage de Désabusé qui tend à se rapprocher des fantasmes de ses débuts ; et dans ces dynamiques artistiques et collectives qui viennent enrichir la pratique, tout s’attarde à ressembler à ces choses qui nous paraissent audacieuses. C’était l’envie de raconter les arts, d’ouvrir le regard, de s’ouvrir aux autres et de partager l’actualité culturelle. Le beau semble se détacher aussi dans la simplicité, dans la différence, dans la richesse du pouvoir créatif. Voilà peut-être un semblant de réponse : le beau n’est ni une dualité, ni un conflit, un rapport ou quelque opposition, il est l'union, un tout harmonisé de toutes les manières possibles. En 2015, Benjamin Loyauté écrivait à ce sujet dans l’ouvrage de la Biennale Internationale de Saint-Étienne, il disait ceci : « Tout le monde a un avis sur le beau. Il faut arrêter d’avoir peur de s’y confronter, car cet avis-ci se stabilise en fonction de critère de temps, d’espace, d’éducation, de contact, de société. C’est dire à quel point il est mobile. »

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Il existe pour sûr cette polysémie infinie propre à la pratique, car le design est une science complexe, enveloppante et enivrante. S’il paraît parfois flou et abstrait, c’est davantage encore parce que tout designer modèle sa propre définition au regard de la fragilité des résultantes sociales et sociétales de ses intentions. Dans cet entrain contemporain à se saisir des enjeux du monde, la notion d’un beau subjectif semble terriblement réductrice. Lorsque <link-text>Pierre DEBEAUX<link-text> confronte les mots de Vitruve à ses aspirations modernistes, la forme classique est naturellement contraignante, réductrice, tant elle codifiée, «inhumaine pour ainsi dire».

Mais le beau oscille entre les deux faces d’un mur friable : la raison, l’usage, la fonction d’une part, l’affecte, le plaisir, le Sensible, d’autre part. 

C’est cette dualité qui rythme les arts depuis longtemps semble-t-il : baroque - classicisme ; rococo - néoclassicisme ; romantisme - réalisme ;

<link-text>L’Artiste?<link-text> s’ouvre au corps et à la différence. Dans l’héritage de Désabusé qui tend à se rapprocher des fantasmes de ses débuts ; et dans ces dynamiques artistiques et collectives qui viennent enrichir la pratique, tout s’attarde à ressembler à ces choses qui nous paraissent audacieuses. C’était l’envie de raconter les arts, d’ouvrir le regard, de s’ouvrir aux autres et de partager l’actualité culturelle. Le beau semble se détacher aussi dans la simplicité, dans la différence, dans la richesse du pouvoir créatif. Voilà peut-être un semblant de réponse : le beau n’est ni une dualité, ni un conflit, un rapport ou quelque opposition, il est l'union, un tout harmonisé de toutes les manières possibles. En 2015, Benjamin Loyauté écrivait à ce sujet dans l’ouvrage de la Biennale Internationale de Saint-Étienne, il disait ceci : « Tout le monde a un avis sur le beau. Il faut arrêter d’avoir peur de s’y confronter, car cet avis-ci se stabilise en fonction de critère de temps, d’espace, d’éducation, de contact, de société. C’est dire à quel point il est mobile. »

C’est cette dualité qui rythme les arts depuis longtemps semble-t-il : baroque - classicisme ; rococo - néoclassicisme ; romantisme - réalisme ;

<link-text>L’Artiste?<link-text> s’ouvre au corps et à la différence. Dans l’héritage de Désabusé qui tend à se rapprocher des fantasmes de ses débuts ; et dans ces dynamiques artistiques et collectives qui viennent enrichir la pratique, tout s’attarde à ressembler à ces choses qui nous paraissent audacieuses. C’était l’envie de raconter les arts, d’ouvrir le regard, de s’ouvrir aux autres et de partager l’actualité culturelle. Le beau semble se détacher aussi dans la simplicité, dans la différence, dans la richesse du pouvoir créatif. Voilà peut-être un semblant de réponse : le beau n’est ni une dualité, ni un conflit, un rapport ou quelque opposition, il est l'union, un tout harmonisé de toutes les manières possibles. En 2015, Benjamin Loyauté écrivait à ce sujet dans l’ouvrage de la Biennale Internationale de Saint-Étienne, il disait ceci : « Tout le monde a un avis sur le beau. Il faut arrêter d’avoir peur de s’y confronter, car cet avis-ci se stabilise en fonction de critère de temps, d’espace, d’éducation, de contact, de société. C’est dire à quel point il est mobile. »

Le beau se sculpte chez l’autre, dans sa singularité et sa sensibilité.

Le beau se sculpte chez l’autre, dans sa singularité et sa sensibilité.

Le beau se sculpte chez l’autre, dans sa singularité et sa sensibilité.

Le beau se sculpte chez l’autre, dans sa singularité et sa sensibilité.

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Si ce n’est une forme d’esthétique, le beau se sculpte chez l’autre, dans sa singularité et sa sensibilité. Ainsi pourrions-nous voir une forme d’application et d’intérêt dans les lignes de ce magazine ? Les derniers mots de l’édito disaient : « réapprenons à nous échapper pour de vrai ». 'Monde Sensible et Identité’ esquisse, pour sûr, depuis juin, une forme de rétrospective tandis que <link-text>L’Autre/ L’Artiste?<link-text> s’ouvre

Si ce n’est une forme d’esthétique, le beau se sculpte chez l’autre, dans sa singularité et sa sensibilité. Ainsi pourrions-nous voir une forme d’application et d’intérêt dans les lignes de ce magazine ? Les derniers mots de l’édito disaient : « réapprenons à nous échapper pour de vrai ». 'Monde Sensible et Identité’ esquisse, pour sûr, depuis juin, une forme de rétrospective tandis que <link-text>L’Autre/ L’Artiste?<link-text> s’ouvre

Si ce n’est une forme d’esthétique, le beau se sculpte chez l’autre, dans sa singularité et sa sensibilité. Ainsi pourrions-nous voir une forme d’application et d’intérêt dans les lignes de ce magazine ? Les derniers mots de l’édito disaient : « réapprenons à nous échapper pour de vrai ». 'Monde Sensible et Identité’ esquisse, pour sûr, depuis juin, une forme de rétrospective tandis que <link-text>L'Autre/<link-text>

Si ce n’est une forme d’esthétique, le beau se sculpte chez l’autre, dans sa singularité et sa sensibilité. Ainsi pourrions-nous voir une forme d’application et d’intérêt dans les lignes de ce magazine ? Les derniers mots de l’édito disaient : « réapprenons à nous échapper pour de vrai ». 'Monde Sensible et Identité’ esquisse, pour sûr, depuis juin, une forme de rétrospective tandis que <link-text>L'Autre/<link-text>

Alors comment ouvrir le regard, être source de proposition, de singularité et sensibiliser ? Comment remettre en question les codes et les langages ? Ce son peut être les silhouettes de <link-text>Matthew M. Williams pour Givenchy<link-text>, entre héritage et renouveau. Peut-être aurions pu nous saisir aussi de l’abstraction de <link-text>L’Autre/ L’Artiste ?<link-text> à la manière d’une peinture avant-garde. Certes, généraliser l’anticonformisme de ces peintres à une simple réaction face à la photographie naissante serait terriblement limitant. Il semble pour autant y avoir un parallèle somme toute amusant entre fatalité, déjà-vu, et temporalité déroutante. 

académisme - fauvisme, etc. De cette dualité-ci, se dessine un entre-deux, pour reprendre Gregory Bateson, « l’existence d’un paysage entre l’intention et sa réception ». Tantôt l’intention est d’une beauté saisissante tant elle est source de réflexion, de remise en cause, tant elle est sensible et intelligente, tantôt et parfois même paradoxalement, l’impromptu fascine, le dégoût stimule, l’incompréhension ou le dissonant bouleverse…

Il y a parfois une même dualité dans les arts. L’expérimental, le plastique, l’art contemporain - j’ose le dire - semble bien éloigné d’une forme d’application concrète comme le design. Tous de fois, et nous l’esquissons depuis près d’un an désormais, quelques propositions artistiques d’apparence subversives paraissent parfois bien plus raisonnées qu’un objet faussement design qui factuellement n’en est pas.

au corps et à la différence. Dans l’héritage de Désabusé qui tend à se rapprocher des fantasmes de ses débuts ; et dans ces dynamiques artistiques et collectives qui viennent enrichir la pratique, à se rapprocher des fantasmes de ses débuts ; et dans ces dynamiques artistiques et collectives qui viennent enrichir la pratique, tout s’attarde à ressembler à ces choses qui nous paraissent audacieuses. C’était l’envie de raconter les arts, d’ouvrir le regard, de s’ouvrir aux autres et de partager l’actualité culturelle. Le beau semble se détacher aussi dans la simplicité, dans la différence, dans la richesse du pouvoir créatif. Voilà peut-être un semblant de réponse : le beau n’est ni une dualité, ni un conflit, un rapport ou quelque opposition, il est l'union, un tout harmonisé de toutes les manières possibles. En 2015, Benjamin Loyauté écrivait à son sujet dans l’ouvrage de la Biennale Internationale de Saint-Étienne, il disait ceci : « Tout le monde a un avis sur le beau. Il faut arrêter d’avoir peur de s’y confronter, car cet avis-ci se stabilise en fonction de critère de temps, d’espace, d’éducation, de contact, de société. C’est dire à quel point il est mobile. »

<link-text>L’Artiste?<link-text> s’ouvre au corps et à la différence. Dans l’héritage de Désabusé qui tend à se rapprocher des fantasmes de ses débuts ; et dans ces dynamiques artistiques et collectives qui viennent enrichir la pratique, tout s’attarde à ressembler à ces choses qui nous paraissent audacieuses. C’était l’envie de raconter les arts, d’ouvrir le regard, de s’ouvrir aux autres et de partager l’actualité culturelle. Le beau semble se détacher aussi dans la simplicité, dans la différence, dans la richesse du pouvoir créatif. Voilà peut-être un semblant de réponse : le beau n’est ni une dualité, ni un conflit, un rapport ou quelque opposition, il est l'union, un tout harmonisé de toutes les manières possibles. En 2015, Benjamin Loyauté écrivait à ce sujet dans l’ouvrage de la Biennale Internationale de Saint-Étienne, il disait ceci : « Tout le monde a un avis sur le beau. Il faut arrêter d’avoir peur de s’y confronter, car cet avis-ci se stabilise en fonction de critère de temps, d’espace, d’éducation, de contact, de société. C’est dire à quel point il est mobile. »

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ÉDITO : Le sens du beau
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Vous avez ressorti ce bon vieux lecteur CD qui date de 30 ans et que vous avez retrouvé en faisant du rangement parce que oui, vous avez fait du rangement. Et comme d’un esprit un peu trop nostalgique, vous vous laissez guider par le son des écouteurs. Ah... C’était la belle époque.
Vous regardez par la fenêtre pour capter une nuance de sociabilité mais en tournant ne serait-ce que légèrement la tête, vous faite sauter le disque. Alors ? Qui tiendra le plus longtemps ? Vous, ou ce bon vieux The Razors Edge d’AC/DC ?
Vous l’aurez compris, DÉSABUSÉ soutient la création et si je parle de Veillée, c’est parce que SUSPENSION reprend le même schéma : soutenir les jeunes artistes émergents. Et si toutefois vous aviez besoin de quelque chose d’encore un plus plus frais, de plus «désabusé», la RADIO est toujours disponible, elle aussi sur spotify.

Bref, si vous avez besoin de musique pour tenir bon en ce troisième incessant confinement ; parce qu’appelons un chat un chat : nous ne pouvons rien faire donc nous sommes bien « confinés » ;  et bien vous pouvez tout de même être sur d'une chose : vous trouverez forcement chaussure à votre pied, du moins en attendant de se voir en live...
Un rythme que la plupart des acteurs du domaine associatif ont du mal à suivre et c’est bien normal. Alors après le report de l’édition de 2020, la Fédération Musicale de Savoie réouvre ses portes à l’ensemble de ses adhérents pour l’édition de 2021. On se donne donc rendez-vous le samedi 26 juin pour parler design et communication associative.

Et quand le graphisme rime aujourd’hui avec pollution visuelle, que de réelles initiatives qui font du bien se noient aux cotés d’attrapes rêves bouffeurs d’argents et que certains acteurs importants de la vie culturelle succombent à la vie numérique bien trop abstraite pour eux, prendre la parole, éduquer, sensibiliser, ouvrir le regard, devient une réelle action sociale, d’une importance toute particulière pour chaque vrai designer.

Laisse

Il existe pour sûr cette polysémie infinie propre à la pratique, car le design est une science complexe, enveloppante et enivrante. S’il paraît parfois flou et abstrait, c’est davantage encore parce que tout designer modèle sa propre définition au regard de la fragilité des résultantes sociales et sociétales de ses intentions. Dans cet entrain contemporain à se saisir des enjeux du monde, la notion d’un beau subjectif semble terriblement réductrice. Lorsque <link-text>Pierre DEBEAUX<link-text> confronte les mots de Vitruve à ses aspirations modernistes, la forme classique est naturellement contraignante, réductrice, tant elle codifiée, «inhumaine pour ainsi dire».

au corps et à la différence. Dans l’héritage de Désabusé qui tend à se rapprocher des fantasmes de ses débuts ; et dans ces dynamiques artistiques et collectives qui viennent enrichir la pratique, à se rapprocher des fantasmes de ses débuts ; et dans ces dynamiques artistiques et collectives qui viennent enrichir la pratique, tout s’attarde à ressembler à ces choses qui nous paraissent audacieuses. C’était l’envie de raconter les arts, d’ouvrir le regard, de s’ouvrir aux autres et de partager l’actualité culturelle. Le beau semble se détacher aussi dans la simplicité, dans la différence, dans la richesse du pouvoir créatif. Voilà peut-être un semblant de réponse : le beau n’est ni une dualité, ni un conflit, un rapport ou quelque opposition, il est l'union, un tout harmonisé de toutes les manières possibles. En 2015, Benjamin Loyauté écrivait à son sujet dans l’ouvrage de la Biennale Internationale de Saint-Étienne, il disait ceci : « Tout le monde a un avis sur le beau. Il faut arrêter d’avoir peur de s’y confronter, car cet avis-ci se stabilise en fonction de critère de temps, d’espace, d’éducation, de contact, de société. C’est dire à quel point il est mobile. »

ÉDITO : Le sens du beau

À VOIR AUSSI

Audacieux, le magazine de la création

Il existe pour sûr cette polysémie infinie propre à la pratique, car le design est une science complexe, enveloppante et enivrante. S’il paraît parfois flou et abstrait, c’est davantage encore parce que tout designer modèle sa propre définition au regard de la fragilité des résultantes sociales et sociétales de ses intentions. Dans cet entrain contemporain à se saisir des enjeux du monde, la notion d’un beau subjectif semble terriblement réductrice. Lorsque <link-text>Pierre DEBEAUX<link-text> confronte les mots de Vitruve à ses aspirations modernistes, la forme classique est naturellement contraignante, réductrice, tant elle codifiée, «inhumaine pour ainsi dire».



L,
Lesbienne, une femme éprouvant une attirance sexuelle envers une femme.

G, Gay, un homme éprouvant une attirance sexuelle envers un homme.

B, Bi, une personne ayant une attirance sexuelle envers deux, plusieurs ou tous les genres.

T, Trans, une personne dont l'identité de genre ne correspond pas au genre assigné à la naissance.
("Trans", c'est qu'on entend quand on parle de l'identité de quelqu'un, pas d'amalgame, ce n'est absolument pas une orientation sexuelle.)

Q, Queer. C'est un terme large qui englobe l'ensemble des personnes ayant une sexualité ou une identité de genre différentes de l'hétérosexualité ou de la cisidentité.

I, Intersexe. Ce terme ne désigne ni une orientation sexuelle ni une identité de genre. Il désigne les personnes qui sont anatomiquement né ni homme, ni femme. Le mannequin Hanne Gaby Odiele par exemple, qui a posé pour Chanel, Dior, Vuitton et j'en passe.. a révélée être intersexe. Elle était née "garçon" avec un chromosome X et un Y mais ressemblait à une fille. Son corps était résistant aux androgènes, des hormones qui stimulent le développement et le maintien des caractères mâles chez les vertébrés comme l'Homme.

A, Asexuel, une personne n'ayant pas d'attirance physique et|ou revendiquant ne pas ressentir le besoin de s'engager dans des relations sexuelles.

Q, Questioning, une personne qui se questionne sur sa sexualité.

P, Pansexuel, une personne pour qui l'identité de genre d'une personne n'a pas d'impact sur son attirance.



LGBT+ : découvrir le monde qui nous entoureLGBT+ : découvrir le monde qui nous entoure
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Un article du magazine Audacieux

au corps et à la différence. Dans l’héritage de Désabusé qui tend à se rapprocher des fantasmes de ses débuts ; et dans ces dynamiques artistiques et collectives qui viennent enrichir la pratique, à se rapprocher des fantasmes de ses débuts ; et dans ces dynamiques artistiques et collectives qui viennent enrichir la pratique, tout s’attarde à ressembler à ces choses qui nous paraissent audacieuses. C’était l’envie de raconter les arts, d’ouvrir le regard, de s’ouvrir aux autres et de partager l’actualité culturelle. Le beau semble se détacher aussi dans la simplicité, dans la différence, dans la richesse du pouvoir créatif. Voilà peut-être un semblant de réponse : le beau n’est ni une dualité, ni un conflit, un rapport ou quelque opposition, il est l'union, un tout harmonisé de toutes les manières possibles. En 2015, Benjamin Loyauté écrivait à son sujet dans l’ouvrage de la Biennale Internationale de Saint-Étienne, il disait ceci : « Tout le monde a un avis sur le beau. Il faut arrêter d’avoir peur de s’y confronter, car cet avis-ci se stabilise en fonction de critère de temps, d’espace, d’éducation, de contact, de société. C’est dire à quel point il est mobile. »

À VOIR AUSSI

Audacieux, le magazine de la création

Il existe pour sûr cette polysémie infinie propre à la pratique, car le design est une science complexe, enveloppante et enivrante. S’il paraît parfois flou et abstrait, c’est davantage encore parce que tout designer modèle sa propre définition au regard de la fragilité des résultantes sociales et sociétales de ses intentions. Dans cet entrain contemporain à se saisir des enjeux du monde, la notion d’un beau subjectif semble terriblement réductrice. Lorsque <link-text>Pierre DEBEAUX<link-text> confronte les mots de Vitruve à ses aspirations modernistes, la forme classique est naturellement contraignante, réductrice, tant elle codifiée, «inhumaine pour ainsi dire». Mais le beau oscille entre les deux faces d’un mur friable : la raison, l’usage, la fonction d’une part, l’affecte, le plaisir, le Sensible, d’autre part. C’est cette dualité qui rythme les arts depuis longtemps semble-t-il : baroque - classicisme ; rococo - néoclassicisme ; romantisme - réalisme ; académisme - fauvisme, etc. De cette dualité-ci, se dessine un entre-deux, pour reprendre Gregory Bateson, « l’existence d’un paysage entre l’intention et sa réception ». Tantôt l’intention est d’une beauté saisissante tant elle est source de réflexion, de remise en cause, tant elle est sensible et intelligente, tantôt et parfois même paradoxalement, l’impromptu fascine, le dégoût stimule, l’incompréhension ou le dissonant bouleverse…

<little-quote-style>Le beau se sculpte chez l’autre, dans sa singularité et sa sensibilité.<little-quote-style>

Il y a parfois une même dualité dans les arts. L’expérimental, le plastique, l’art contemporain - j’ose le dire - semble bien éloigné d’une forme d’application concrète comme le design. Tous de fois, et nous l’esquissons depuis près d’un an désormais, quelques propositions artistiques d’apparence subversives paraissent parfois bien plus raisonnées qu’un objet faussement design qui factuellement n’en est pas. Alors comment ouvrir le regard, être source de proposition, de singularité et sensibiliser ? Comment remettre en question les codes et les langages ? Ce son peut être les silhouettes de <link-text>Matthew M. Williams pour Givenchy<link-text>, entre héritage et renouveau. Peut-être aurions pu nous saisir aussi de l’abstraction de <link-text>L’Autre/ L’Artiste ?<link-text> à la manière d’une peinture avant-garde. Certes, généraliser l’anticonformisme de ces peintres à une simple réaction face à la photographie naissante serait terriblement limitant. Il semble pour autant y avoir un parallèle somme toute amusant entre fatalité, déjà-vu, et temporalité déroutante. 

Si ce n’est une forme d’esthétique, le beau se sculpte chez l’autre, dans sa singularité et sa sensibilité. Ainsi pourrions-nous voir une forme d’application et d’intérêt dans les lignes de ce magazine ? Les derniers mots de l’édito disaient : « réapprenons à nous échapper pour de vrai ». 'Monde Sensible et Identité’ esquisse, pour sûr, depuis juin, une forme de rétrospective tandis que <link-text>L'Autre/ L’Artiste?<link-text> s’ouvre au corps et à la différence. Dans l’héritage de Désabusé qui tend à se rapprocher des fantasmes de ses débuts ; et dans ces dynamiques artistiques et collectives qui viennent enrichir la pratique, tout s’attarde à ressembler à ces choses qui nous paraissent audacieuses. C’était l’envie de raconter les arts, d’ouvrir le regard, de s’ouvrir aux autres et de partager l’actualité culturelle. Le beau semble se détacher aussi dans la simplicité, dans la différence, dans la richesse du pouvoir créatif. Voilà peut-être un semblant de réponse : le beau n’est ni une dualité, ni un conflit, un rapport ou quelque opposition, il est l'union, un tout harmonisé de toutes les manières possibles. En 2015, Benjamin Loyauté écrivait à ce sujet dans l’ouvrage de la Biennale Internationale de Saint-Étienne, il disait ceci : « Tout le monde a un avis sur le beau. Il faut arrêter d’avoir peur de s’y confronter, car cet avis-ci se stabilise en fonction de critère de temps, d’espace, d’éducation, de contact, de société. C’est dire à quel point il est mobile. »

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LES DROITS DES PERSONNES LGBT EN FRANCE :

Aujourd'hui c'est l'occasion, en abordant les droits des personnes LGBT, de faire la rétrospective d'une révolution sexuelle qui dure, évolue et s'affirme depuis des siècles. Un peu d'histoire donc, ça ne fait pas de mal, surtout lorsqu'on peut se remémorer celle, ceux et celles qui se sont battus pour que les pensées évoluent.

1791

La Révolution française décriminalise les relations homosexuelles.

1945

Distinction entre les sexualités & l’âge pour les rapports sexuels. 21 ans pour les rapports homosexuels & 13 ans pour les rapports hétérosexuels.

1965

Doublage de la peine minimum pour outrage public à la pudeur lorsqu’il s’agissait de rapports homosexuels.

1974

L’âge de majorité sexuelle pour les rapports homosexuels est abaissé à 18 ans, puisque la loi change l’âge de majorité.

1978

La loi va passer de la répression de l’homosexualité à celle de l’homophobie.

1980

Supression du doublage de peine établit en 1960.

1982

Législation discriminatoire concernant l’âge de consentement est abolie.

1983

Discrimination dans la possibilité de donner son sang pour les personnes homosexuelles, suite à l’épidémie du sida.

1985

Protection contre les discriminations en raison de l’orientation sexuelle.

1999

Les couples de même sexe sont reconnus par le concubinage, & adoption possible mais qu’en tant que célibataire.

2004

L’homophobie fait partit des motifs de discriminations, & peine établie lors de propos publics incitant à la haine, diffamatoire ou injurieux en raison de l’orientation sexuelle.

2005

Peine pour la diffamation, l’injure & la provocation à la haine non publiques

2010

La transidentité n’est plus considérée comme une maladie mentale.

2013

Le mariage des couples de même sexe, & adoption possible par les couples homosexuels mariés, ainsi que l’adoption de l’enfant du conjoint au sein d’un couple marié.

2015

Interdiction de toute discrimination pour le don du sang en raison de son orientation sexuelle.

2016

Les HSH (homme ayant des rapports sexuels avec un ou d'autres hommes) ayant été abstinents pendant 1 an peuvent alors donner leur sang, cet arrêté prend effet à partir du 10 juillet de la même année. De plus, les personnes dans une relation stable depuis 4 mois ou qui ont été abstinents pendant 4 mois, peuvent donner leur plasma sanguin pour des études.

2016

Reconnaissance de l’identité de genre comme l’un des critères de discrimination.

2016

Changement d’état civil pour les personnes trans établit (gratuitement & en mairie pour le prénom, mais la décision d’un tribunal pour le genre est toujours d’actualité), & sans l’obligation d’intervention chirurgicale.

2017

Reconnaissance de la transphobie comme une circonstance aggravante applicable à l’ensemble des crimes ou des délits punis d’une peine d’emprisonnement.

2019

Autorisation d’insémination artificielle avec donneur aux femmes cis, & non aux personnes trans.

2020

L’arrêté de 2019 est abaissé de 12 à 4 mois, pour la durée d’abstinence permettant aux HSH de donner leur sang.

2021

Depuis août 2021, les couples de femmes ont accès à la procréation médicalement assistée (PMA), au même titre que les femmes seules et les femmes en couple avec un homme.

2021

L'UE déclarée zone de liberté LGBTIQ. Une résolution qui reconnaît l’ensemble du territoire européen comme "zone de liberté LGBTIQ"(nouvelle fenêtre) et rappelle que les autorités nationales dans l’ensemble de l’Union, devraient protéger et promouvoir l’égalité et les droits fondamentaux pour tous, y compris pour les personnes LGBTIQ.

2020_2013

Le "Plan national d’actions pour l’égalité, contre la haine et les discriminations anti-LGBT+" continu. Cette action liste 42 mesures concernant tous les domaines de la vie quotidienne : la sphère familiale, l’école, l’université, le travail, le sport, la santé, etc. Entre autres :
  • L’ouverture de la procréation médicalement assistée (PMA) aux couples de femmes et aux femmes célibataires    La facilitation de l’utilisation du prénom d’usage pour les personnes trans dans les documents administratifs non officiels pour les agents de la fonction publique comme pour les usagers  
  • L’élaboration d’un guide sur l’accueil des élèves et des étudiants trans à destination de l’ensemble du personnel de l’Éducation nationale et de l’Enseignement supérieur    
  • La lutte contre les thérapies dites « de conversion »    La poursuite de l’adaptation des formulaires administratifs afin d’inclure les familles homoparentales    
  • Le développement de la formation continue des référents LGBT+ au sein des commissariats de police et des brigades de gendarmerie

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